Etude des personnages dans "La Bête humaine" d'Emile Zola

Résumé du document

Synthèse présentant les personnages de La Bête humaine: La Lison, Jacques, Pecqueux, Tante Phasié, Misard et Flore. Fiche utile au collège et au lycée surtout pour le bac de français.

Extraits

[...] La Lison : un personnage à part entière La Lison apparaît comme un symbole épique, celle-ci est considérée comme un héros traversant un champ de bataille. On voit nettement ce symbole lorsque celle-ci meurt lors de ses derniers mètres en pleine tempête de neige. La Lison est avant tout la femme Jacques idéalise par sa docilité et sa soumission envers lui. Lorsque La Lison est arrêtée dans la neige, cette dernière est en attente d'un coup mortel semblable à la réaction de Flore lorsqu'elle vit Jacques embrasser Séverine. [...]

[...] Tante Phasié se pense à l'image de sa fille et croit pouvoir résister à son mari qu'elle considère comme : une demi-portion un bout d'homme Cependant tante Phasié mourra sous les empoisonnements successifs de son mari. Misard, malgré sa taille et sa petite posture est avide d'argent, il tuera en effet sa propre femme pour récupérer les 1000 francs de son héritage, qu'il ne trouvera au final jamais. Ce trio est pessimiste car il montre une fille qui, folle d'amour mais vierge, se suicidera. Sa mère mourra de son côté empoisonnée par son mari qui cherchait les 100 francs qu'elle avait cachés avant de décéder. [...]

[...] Etude des personnages de : La Bête humaine, Emile Zola I. Les principaux trios La Lison, Jacques, Pecqueux : un trio ferroviaire Jacques et Pecqueuse font partie tous deux du monde du chemin de fer. Jacques est en le mécanicien de la Lison et Pecqueux en est le conducteur. Jacques conduit un train assurant la ligne Paris - Le Havre, et ceci un jour sur deux. Jacques soigne en quelque sorte La Lison, ce dernier allant jusqu'à ressentir des sentiments amoureux pour la locomotive. [...]

[...] Mais progressivement, Séverine éprouve un amour sincère, amour qui est d'ailleurs partagé par Jacques. Jacques, atteint d'une fièvre meurtrière héréditaire éprouve de la haine pour les femmes. Jacques peut être considéré comme un psychopathe malgré lui, celui-ci est condamné à tuer toute sa vie même s'il ne le veut pas. Séverine est la seule femme dont il tombera amoureux aussi longtemps sans pour autant vouloir la tuer. A la fin du livre, le meurtrier en lui prendra le pas sur l'homme amoureux puisqu'il tuera Séverine à la fin du livre. [...]