Conversation, rire, paroxysme, désespoir, d’humour noir
Joseph, Suzanne, la mère et M.Jo sont tous ensemble et discute, M.Jo (qui est le prétendant de Suzanne) essaye de se faire intégrer dans la conversation, pourtant il ni arrive pas, il reste à l'écart de la famille, qui ri ensemble. M.Jo n'est pas en mesure de comprendre leur rire qui est un mélange de peine et d'autodérision. En effet M.Jo est un homme de la haute bourgeoisie, par conséquent il ne peut pas comprendre le rire de gens pauvre, qui vivent avance peu de moyen et qui rêvent d'être à sa place. Cela explique la l'opposition, la différence entre le « nous » et le « il » dans le texte. Nous allons voir, maintenant, la signification du rire de la famille composé de Suzanne, Joseph et de leur mère.
[...] sépares par ai contraire : rire coté du coté de la nature, et le malheur du coté hommes. Les expressions en l'air (l.52), d'un seul coup d'un seul (l.52) soulignent la destruction totale et brutale des barrages, montre, par le langage familier et l'expression imagée, le plaisir destructeur des éléments. Le tragique de cet acharnement du sort es renforcé par l'évocation des espoirs de la mère, absurdes car voués d'emblée a l'échec l.53 et l.54 oubli total des méfaits pourtant certains de la mer et des crabes Mais le rire de Joseph s'élève à celui de la fatalité : Joseph replace le rire, des hommes, il exprime sa dignité et sa révolte, son refus du tragique. [...]
[...] A travers les personnages, le texte met en évidence deux réactions de l'homme face a la fatalité : personnage de la mère : lutte aveugle, vouée a l'échec, mais sans cesse recommencée ; obstination tragique qui conduit au désespoir et a la folie (voir le texte la lettre de la mère). Le personnage de Joseph : refus du tragique en passant par la révolte et le rire. mettre en relation avec la scène ou Jose; chasse les agents du cadastre : plaisanteries qui tournent les agents en ridicule, usage du fusil, qui marquent le défi lancé par Joseph a ces agents de la fatalité - défi remporté ce jour-la par Joseph). [...]
[...] Jo, est l'expression du désespoir. Leur rire est marqué par l'ironie, qui est une autodérision, désigne une profonde amertume de la famille face au malheur. Le lien entre le rire et le désespoir apparait l.50 la grande rigolade du grand malheur» ou a la l.51 c'étai terrible et c'était marrant et les parallélismes dans ces deux expressions et le chiasme indiquant le lien, l'équivalence entre le rire et désespoir: l.20 tant de malheurs» qui exprime le lien entre la cause et la conséquence. [...]
[...] Cela explique la l'opposition, la différence entre le nous et le il dans le texte. Nous allons voir, maintenant, la signification du rire de la famille composé de Suzanne, Joseph et de leur mère. Pour analyser ce sujet nous allons dans un premier temps voir le rire comme paroxysme du désespoir, ensuite le rire de joseph contre celui de la fatalité, c'est-à- dire de son sort, puis expliquer cette fatalité. Le rire comme paroxysme du désespoir : le rire, loin d'être un signe de gaieté comme le croit M. [...]
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