Fond :
- Thème principal : la beauté. Le poète veut séduire une jeune femme en lui évoquant ses charmes et en la priant d'en profiter au plus tôt.
Le problème principal est donc le temps. Il faut que la demoiselle use de ses charmes avant qu'ils ne disparaissent avec le temps, car ils ne sont pas éternels.
- L'entièreté du texte semble être une comparaison par rapport à la nature, aux fleurs. Pierre de Ronsard parle même de "Marâtre Nature", ce qui équivaut à dire qu'elle n'a pas que de bonnes actions : elle fait faner les fleurs et la beauté.
- Il semble également qu'il y ait une "croissance de la gravité" dans le poème : la première strophe n'expose aucun problème par rapport à la beauté. Dans la seconde, on remarque déjà que l'auteur évoque un problème de la nature : les fleurs fanent et ne sont donc pas éternelles. Enfin, dans la dernière strophe, de Ronsard compare la beauté avec les fleurs, et conclut donc en disant que la beauté n'est pas non plus éternelle.
- Utilisation de l'impératif dans le 4e vers de la dernière strophe. Cela paraît important pour l'auteur. Il faut que la demoiselle profite de sa beauté, dans l'immédiat.
Relations avec le mouvement :
- Il s'agit d'une ode.
- Exposition du moi, de ses propres émotions et sentiments. Le poète exprime clairement son amour pour Cassandre.
- Exposition du Carpe Diem : Il faut profiter de sa beauté car elle n'est pas éternelle. Cela rejoint la théorie du "il faut vivre au jour le jour".
- Versification très respectée.
- Recours aux figures de style :
Comparaison rose/femme au 6e vers. Elle relie l'apparence de la femme à celle de la rose, comparaison durée de la vie d'une fleur/durée de la beauté aux 2 derniers vers. Elle signifie que la beauté n'est pas éternelle, allégorie : "verte nouveauté" pour dire jeunesse.
- Imitation du latin : vocatifs ("Mignonne" du premier vers, ...) (...)
[...] Présentation du romantisme : Le romantisme représente le balancier inverse du classicisme Ainsi, après une période stricte et très réglementée pour la poésie classique, le mouvement romantique replace une certaine souplesse de l'écriture et du vers. Il s'agit dès lors de la poésie du rêve et du souvenir. Le sentiment principal est sans doute la mélancolie, le mal du siècle Le moi s'exprime beaucoup plus. Le poète s'exprime, expose ses sentiments et ses envies. Le romantisme est complexe, tourmenté et partagé. [...]
[...] Il faut que la demoiselle use de ses charmes avant qu'ils ne disparaissent avec le temps, car ils ne sont pas éternels. L'entièreté du texte semble être une comparaison par rapport à la nature, aux fleurs. Pierre de Ronsard parle même de Marâtre Nature ce qui équivaut à dire qu'elle n'a pas que de bonnes actions : elle fait faner les fleurs et la beauté. Il semble également qu'il y ait une croissance de la gravité dans le poème : la première strophe n'expose aucun problème par rapport à la beauté. [...]
[...] Biographie de l'auteur : Pierre de Ronsard, né le 1er septembre 1524 et mort la nuit du 24 au 25 décembre 1585, était un écrivain et poète français, surnommé le prince des poètes Après une carrière diplomatique impressionnante (attaché au roi de Grande-Bretagne, entrée à l'Ecurie royale française avec le dur d'Orléans, attaché à la suite du cardinal du Bellay-Langey, de Ronsard fut contraint à abandonner ses exploits à cause d'une otite chronique qui le laissa à moitié sourd. C'est à ce moment qu'il se consacra à l'écriture. Ses premières œuvres datent de 1550 et étaient regroupées dans quatre recueils appelés Odes Les autres écrits suivirent et sa popularité ne cessa d'augmenter jusqu'à sa mort. Présentation du mouvement de la Renaissance : Le mouvement de la Renaissance tente de s'inspirer de l'Antiquité, ainsi que des classiques grecs et latins. [...]
[...] Alexandrins Rimes : ABAB (croisées, dans les quatrains) et AAB (tercets). Fond : Il s'agit d'un contre-blason. Un blason était un poème célébrant une partie du corps féminin. Dans ce cas-ci, c'est l'inverse. Scarron dévalorise une partie du corps d'Heleine, sa bouche en l'occurrence. Scarron se moque d'une dame, Heleine, dont le rire étrange l'agace. Son rire laisse entrevoir ses dents et son halène fétide, ce qui dérange fortement le poète. Dans la dernière strophe, l'intonation donnée et la manière de parler rendent la fin lugubre, sombre et assez sanglante pour un problème qui ne semble pas en demander autant. [...]
[...] Il ne veut pas qu'elle l'oublie, parce qu'il l'aime et l'aimera jusqu'à sa mort (et même après). Exposition du moi De Musset expose clairement ses sentiments, son expérience et surtout son amour. Il s'exprime à la première personne du singulier déterminants possessifs adéquats). Sacre de la nature. Toutes les informations sur le temps ou le lieu se rapportent à la nature : quand l'Aurore craintive ouvre au Soleil son palais enchanté. au fond des bois quand la fleur solitaire s'ouvrira Liberté dans l'écriture. [...]
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