François de Malherbe (1555 - 1628) est issu d'une famille noble. A l'âge d'entrer à l'université, il choisit de suivre les cours à Caen et Paris, et de partir ensuite à l'étranger. Dès la fin de ses études, de Malherbe part donc chercher fortune à Paris et devient l'aide de camp et secrétaire du fils du duc Henri d'Angoulême. A cette époque, rien ne semble le destiner à devenir le poète officiel du roi de France. Cependant, en 1605, de Malherbe est présenté au roi Henri IV, qui lui confie la mission d'écrire une ode sur une campagne militaire. La Prière pour le Roi Henri le Grand allant en Limousin plaira au Roi, qui le nommera peu de temps après poète officiel de la cour (...)
[...] Je ne te verrai plus ; mais mon âme immortelle Reviendra près de toi comme une sœur fidèle. Ecoute, dans la nuit, Une voix qui gémit : Rappelle-toi. Souvenir de Mortefontaine par Jean Baptiste Camille Corot Forme : Le poème est composé de trois strophes de 9 vers. Les trois strophes suivent le même schéma de vers : 4 décasyllabes + 2 alexandrins + 2 hexasyllabes + 1 trisyllabe. Le schéma de rime suivi est ABABCCDDD (croisées, puis suivies + D). [...]
[...] La strophe est écrite en vers libre. Il n'y a pas de rimes, sauf parfois quelques ressemblances sonores qui ne semblent même pas être voulues (boue/boue, étagère/paupière). Fond : Au départ, le poète fait paraître que la personne qui est dans la chambre est sur le point de mourir (Tu t'en iras quand tu voudras [vers elle est en train mourir sur son lit, la tête contre un oreiller dans une chambre noir (Et l'insecte brillant se pose sur l'oreiller [vers Éclate et rejoint le Noir vers 5). [...]
[...] Origine : http://fr.wikipedia.org/ [Consulté le 22 mai 2009] - Quoi donc c'est un arrêt http://poesie.webnet.fr/lesgrandsclassiques/poemes/francois_de_malherbe/quoi _donc_c_est_un_arret.html. Origine : http://poesie.webnet.fr/ [Consulté le 22 mai 2009] - Rappelle-toi, http://poesie.webnet.fr/lesgrandsclassiques/poemes/alfred_de_musset/rappelle _toi.html. Origine : http://poesie.webnet.fr/ [Consulté le 22 mai 2009] - Artémis, http://poesie.webnet.fr/lesgrandsclassiques/poemes/jose_maria_de_heredia/art emis.html. Origine : http://poesie.webnet.fr/ [Consulté le 22 mai 2009] - Maria de Heredia, http://fr.wikipedia.org/wiki/Jos%C3%A9- Maria_de_Heredia. Origine : http://fr.wikipedia.org/ [Consulté le 22 mai 2009] - Arthur Rimbaud, http://fr.wikipedia.org/wiki/Arthur_Rimbaud. Origine : http://fr.wikipedia.org/ [Consulté le 22 mai 2009] - Biographie de Arthur Rimbaud, http://www.jesuismort.com/biographie_celebrite_chercher/biographie- arthur_rimbaud-1026.php. Origine : http://www.jesuismort.com/. [Consulté le 22 mai 2009]. [...]
[...] Et, bien plus, il te plaît, Déesse, que la ronce Te morde et que la dent ou la griffe s'enfonce Dans tes bras glorieux que le fer a vengés ; Car ton coeur veut goûter cette douceur cruelle De mêler, en tes jeux, une pourpre immortelle Au sang horrible et noir des monstres égorgés. Le Diane et Endymion par Pier Francesco Mola Forme : Le poème est composé de deux quatrains et de deux tercets, il s'agit donc d'un sonnet. La première strophe est composée de quatre vers de douze pieds (alexandrin). La deuxième strophe est composée de quatre vers de douze pieds. [...]
[...] La troisième et quatrième strophes sont composées de trois vers de douze pied. Dans la première et deuxième strophe, le schéma de rime est croisé : ABAB. Dans les deux dernières strophes le schéma de rimes est CCD. Les rimes sont suffisantes ou riches (R+I+NE). Fond : Le poème débute en énonçant où se situe la scène. C'est une petite vallée ou une rivière coule, le soleil rayonne et illumine la vallée (C'est un trou de verdure où chante une rivière [vers Un soldat est couché dans l'herbe de la vallée la bouche ouverte et la tête découverte (Un soldat jeune, lèvre bouche ouverte, tête nue [vers , ce soldat est en train de dormir dans l'herbe et le soleil rayonne sur sa silhouette (Dort ; il est étendu dans l'herbe sous la nue [vers Ce soldat qui dors commence à attraper froid dans l'herbe malgré les rayons du soleil (Nature, berce-le chaudement : il a froid [vers 11]). [...]
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