Hélène Dorion, Mes forêts, poésie, agitation quotidienne, exercice de contemplation, art du temps, exercice de lenteur, sagesse, enfance
Dans son ouvrage, Hélène Dorion affirme que la poésie est "un exercice de lenteur, éloigné de l'agitation quotidienne". Cette affirmation peut être interprétée de plusieurs manières. D'une part, la poésie peut être considérée comme un art du temps. Elle demande au lecteur de prendre son temps, de s'arrêter pour écouter les mots, les images et les émotions qu'ils suscitent.
[...] Conclusion La poésie est un exercice de lenteur, éloigné de l'agitation quotidienne. Elle demande au lecteur de prendre son temps, de s'arrêter pour écouter les mots, les images et les émotions qu'ils suscitent. Elle invite également le lecteur à se retirer de l'agitation du monde pour se recentrer sur lui-même et sur les choses essentielles. Dans "Mes forêts", Hélène Dorion illustre cette affirmation par son langage simple et direct, par son attention aux sonorités et aux rythmes, et par son exploration de la relation entre l'être humain et la nature. [...]
[...] Dans "Mes forêts", Hélène Dorion explore la relation entre l'être humain et la nature. Elle voit la forêt comme un lieu de refuge, de ressourcement et d'inspiration. Elle y trouve une source de beauté, de mystère et de sagesse. Les poèmes de "Mes forêts" invitent le lecteur à se laisser guider par la forêt. Ils lui permettent de découvrir une autre dimension du monde, une dimension plus calme, plus sereine. Par exemple, dans le poème "Forêt de mes rêves", l'auteure décrit la forêt comme un lieu de rêve et de fantaisie. [...]
[...] Mes forêts - Hélène Dorion (2021) - La poésie est-elle un exercice de lenteur, éloigné de l'agitation quotidienne ? I. La poésie comme exercice de lenteur Dans son ouvrage, Hélène Dorion affirme que la poésie est "un exercice de lenteur, éloigné de l'agitation quotidienne". Cette affirmation peut être interprétée de plusieurs manières. D'une part, la poésie peut être considérée comme un art du temps. Elle demande au lecteur de prendre son temps, de s'arrêter pour écouter les mots, les images et les émotions qu'ils suscitent. [...]
[...] Elles invitent le lecteur à s'arrêter, à fermer les yeux et à imaginer la forêt. Le poème se termine par un refrain qui renforce l'impression de lenteur : Je suis là, je suis là, Je suis là dans la forêt. Ce refrain invite le lecteur à se joindre à l'auteure dans la forêt, à prendre le temps de la contempler et de l'apprécier. III. La poésie comme art de la contemplation La poésie est également un art de la contemplation. [...]
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