Linguistique, morphologie, paradigme flexionnel, allomorphe, subjonctif présent, subjonctif imparfait, participe passé, temps non marqué, verbe, conjugaison, dérivation de conjugaison, personnes au singulier et au pluriel, terminaisons, accent, langue parlée, écrite, voyelle, consonne, substantif, base populaire ou savante, adjectif, apostrophe, français, castillan, espagnol, suffixe
Pour cette étude, la langue vivante choisie est le castillan. Tout d'abord, nous aborderons sa morphologie flexionnelle en expliquant la formation du pluriel des substantifs. L'espagnol est une langue agglutinante, c'est-à-dire que ses nuances grammaticales sont marquées par l'adjonction de suffixe.
Les allomorphes de morphèmes de pluriel s'utilisent selon l'environnement qui les précède. Ainsi, l'allomorphe -s est utilisé lorsque le substantif termine par une voyelle (“señora” donne “señoras”), l'allomorphe -es est utilisé lorsque le substantif termine par une consonne autre que z (“señor” donne “señores”), et l'allomorphe -ces est utilisé lorsque le substantif termine par la consonne z (“vez” donne “veces”).
[...] C'est le cas des mots "beed", "buug" et "miis". L'allomorphe du morphème de pluriel se forme alors par la lettre suivie de la consonne finale du substantif. La dernière formation possible concerne les substantifs, terminant par une consonne composée de quatre lettres ou plus. C'est le cas des mots "cashar", "shabeel" et "xidid". L'allomorphe du morphème de pluriel se forme alors par la consonne finale du substantif, suivie de la voyelle tuulo tuulooyin, tog togag, albaab albaabbo, buste bustayaal. Exercice 3 : L'allomorphie dans la dérivation Le procédé de dérivation observé est ici le participe passé "méfait" dérivé du verbe "méfaire", lui-même composé du verbe "faire" et du morphème lié "mé". [...]
[...] Nous pouvons expliquer la morphologie dérivationnelle de la langue espagnole par la formation du subjonctif imparfait. Nous prendrons l'exemple du verbe "tener", qui est irrégulier. La formation du subjonctif imparfait se fait par dérivation du passé simple. Ainsi, au passé simple nous avons yo tuve, tú tuviste, él tuvo, nosotros tuvimos, vosotros tuvisteis, ellos tuvieron. Au subjonctif imparfait nous avons yo tuviera, tú tuvieras, él tuviera, nosotros tuviéramos, vosotros tuviérais, ellos tuvieran. Nous observons que nous prenons le radical de la troisième personne du pluriel "tuvier" qui devient le radical unique du subjonctif imparfait. [...]
[...] Il y a un phénomène d'allomorphie du morphème -âtre qui se transforme en morphème -dâtre. Cette allomorphie est purement morphologique."Spongieux" est un adjectif dont aucune base n'est populaire. Il est dérivé du latin -spongiosus auquel s'ajoute le morphème "ieux". Ce morphème est un allomophe du morphème qui connote l'abondance. Le procédé de dérivation utilisé est la dérivation verbale de "demeurer" en substantif. Le seul morphème présent est le suffixe mais la base "meure" perd son sens lorsqu'elle est séparée de son morphème. L'adjectif "indéniable" est dérivé du substantif "déni", lui-même dérivé du verbe "dénier". [...]
[...] 9.Lorsque les formes en -enn reçoivent un suffixe de pluriel, on obtient le pluriel de leur forme dérivée, c'est-à-dire d'un hyperonyme du substantif de départ, et non un simple pluriel du substantif de départ. 10.Cette suffixation relève plutôt de la flexion, puisque c'est une variation morphologique qui indique une caractéristique grammaticale : le genre. Exercice 6 : Question de synthèse Pour cette étude, la langue vivante choisie est le castillan. Tout d'abord, nous aborderons sa morphologie flexionnelle en expliquant la formation du pluriel des substantifs. L'espagnol est une langue agglutinante, c'est-à-dire que ses nuances grammaticales sont marquées par l'adjonction de suffixe. [...]
[...] Ce terme est utilisé dans un registre de langue courant, voire familier. Le substantif "gendarmerie" est dérivé du substantif "gendarme", précédé du morphème -erie qui a pour fonction la formation d'un substantif désignant un établissement. Il y a opposition entre la base populaire "gendarme" et la base savante "erie" qui ne peut exister par elle-même. "Ripou" est dérivé de "pourri", ayant subi le procédé appelé "verlan", une inversion phonétique des deux syllabes d'un mot. On observe alors une allomorphie du morphème "rri" qui perd un r puisqu'aucun mot ne peut commencer par une double consonne. [...]
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