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L'alliance millénaire du cheval et de l'homme est une gageure, bien plus que celle de l'être humain avec d'autres animaux domestiques comme le chien ou le chat. Pour prendre la mesure de cet état de fait, il nous faut garder à l'esprit que le cheval et l'homme n'occupent pas le même niveau trophique dans la chaîne alimentaire : l'homme est un prédateur, sans doute le prédateur suprême, tandis que le cheval est une proie. Si l'être humain et le chien sont naturellement du même côté dans le "struggle for life" cher à Darwin, le cheval et l'homme sont à l'état naturel des ennemis : leur collaboration n'a donc rien d'inné, elle est même un défi à l'ordre naturel. Au-delà de cet aspect, nous allons voir que l'utilisation du cheval par l'homme implique en outre un véritable remodelage des attitudes corporelles et de la locomotion naturelle de l'animal. En effet, contrairement à une opinion très répandue chez les néophytes, l'équitation ne consiste pas pour le cavalier à se laisser porter plus ou moins passivement par un animal « prêt à l'emploi » et « qui fait tout » : c'est au contraire au cavalier d'apprendre au cheval à le porter et à se mouvoir avec aisance sous lui, car le cheval n'est pas plus naturellement adapté à cette utilisation sur le plan physiologique qu'il ne l'est sur le plan comportemental.
[...] in die gegensätzliche Richtung zieht, wenn der Reiter selber zieht oder eine zu harte Hand hat. Obwohl diese Angst ein allgemeines Merkmal der Pferdeart ist, ist sie nicht bei allen Pferden genauso stark geprägt. Bei besonderen schreckhaften Pferden führt sie zu dem oben beschrieben Verhalten, „tirer au renard“. ANNEXE Questionnaire allemand prise de longe (Subs.) : bezieht sich auf die Tatsache, dass ein fest angebundenes Pferd mit einem Bein (meist ein Vorderbein) an dem Strick hängenbleibt und in Panik daran zieht, um sich zu befreien, da es nicht versteht, dass die Anspannung des Strickes vom dem eigenen Bein verursacht wird. [...]
[...] Le cavalier ressent alors une tension considérable dans les rênes : on dit que le cheval « tire comme un treuil », il a tendance à trébucher et à prendre de la vitesse de manière incontrôlable. Dans cette attitude corporelle, le cheval est physiquement incapable de passer instantanément d‟une allure rapide (comme le galop) à une allure plus lente (comme le pas) et a fortiori de s‟arrêter net à une allure élevée, d‟effectuer un virage serré, de pivoter autour des ses hanches, etc. [...]
[...] On a le sentiment d‟être dans le vide, avec un cheval qui vous menace, c‟est terrifiant. C‟est une des pires défenses. Et donc il ne se reprend pas sur la main. C‟est ça aussi, ça veut dire qu‟on n‟a pas de possibilité de reprendre contact dans la main. AEF : On n'a rien dans les mains, aucun contact ? BS : On n‟a plus rien. AEF : Ensuite, j'ai une question sur les notions certes très courantes « sur la main », « en main », « dans la main », j'ai vraiment du mal à bien les délimiter les unes par rapport aux autres. [...]
[...] Il vaut mieux rendre et recommencer. Parce que les chevaux nous parlent, hein. Tout le temps. Ils passent leur vie à nous parler. Ils nous parlent d‟une manière négative ou positive. Ils nous parlent. Ils nous disent ce qui va et ce qui ne va pas. A nous de les observer et de les ressentir. [...]
[...] Cet état extrême est fort heureusement rarissime. EXP2: Les causes de ce comportement peuvent être très variées : frayeur, douleur, désobéissance, mais aussi besoin irrépressible de mouvement, par exemple chez les jeunes chevaux. EXP3: Prendre la main du cavalier signifie que le cheval n‟est plus contrôlable par des actions de rênes, il ne répond plus à la main du cavalier ni à ses tentatives de l‟arrêter. Il s‟agit de la version moderne de l‟expression vieillie « prendre le mors aux dents ». [...]
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