Langue maternelle, expression de la pensée, parole, communication, écriture, compréhension, bilinguisme, retranscription écrite, René Descartes, Montaigne, langage animal
Parfois, nous pouvons rencontrer des personnes qui parlent beaucoup. Ils pensent à plein de choses et l'expression de leurs pensées passe naturellement par les mots qui sont amenés par la faculté de parole, donnée aux hommes. Mais bien souvent, on définit le langage comme outil utile seulement pour parler. Est-ce vraiment le cas ? Le langage est l'expression de la pensée et la communication entre les êtres par le biais de l'écriture et la parole. On dit d'une langue qu'elle est maternelle quand elle est la première apprise par un enfant.
[...] En apprenant la langue maternelle n'apprend-on qu'à parler ? En apprenant la langue maternelle n'apprend-on qu'à parler ? (Problématique utilisée pour cette dissertation) Parfois, nous pouvons rencontrer des personnes qui parlent beaucoup. Ils pensent à plein de choses et l'expression de leurs pensées passe naturellement par les mots qui sont amenés par la faculté de parole, donnée aux hommes. Mais bien souvent, on définit le langage comme outil utile seulement pour parler. Est-ce vraiment le cas ? Le langage est l'expression de la pensée et la communication entre les êtres par le biais de l'écriture et la parole. [...]
[...] Pour le public Apprendre une langue ne sert pas qu'à parler. Qu'elle soit maternelle ou seconde, une langue sert à exprimer quelque chose : la pensée. Évidemment, elle sert essentiellement à communiquer, à transmettre des informations afin de se faire comprendre. Elle permet aussi à la société de fonctionner ; la langue crée des mots et les mots créent une situation ou un contexte qui est compris par l'homme, par exemple, l'un des premiers langages auquel nous ne pensons pas forcément est le Code de la route, il permet aux hommes de comprendre ce qu'il se passe autour d'eux, de communiquer des informations et de respecter des lois. [...]
[...] On peut donc en déduire que la langue est effectivement bien plus utile que pour le simple fait de parler et qu'il en est de la survie de l'homme que de s'exprimer. Pour conclure, notre question était de savoir si apprendre sa langue maternelle ne servait qu'à parler et pour répondre à cette question nous avons d'abord donné notre avis tout en nous appuyant de thèses et d'une pensée commune. Ensuite nous avons essayé de nous mettre dans la peau de quelqu'un qui serait d'accord avec la problématique et enfin, par une réponse solide et prouvée, nous avons pu répondre à la question soit démontrer que la langue est effectivement essentielle à l'homme dans sa vie de tous les jours et qu'elle ne se réduit pas à seulement savoir parler, mais à vivre. [...]
[...] D'ailleurs, pour reprendre l'exemple du Code de la route cité précédemment, savoir conduire en sécurité est aussi un moyen de survie. Nous pouvons également ajouter que le fait de parler de notre vie à des amis ou proches nous permet de maintenir un équilibre mental. Tout intérioriser finit par conduire à la folie, alors ici, on décrit le langage comme un moyen de survie et non de communication. La langue maternelle permet de parler, mais elle permet bien plus. De plus, discuter invite l'homme à se sociabiliser et à évoluer en toute confiance. [...]
[...] Donc, nous pouvons comprendre que le langage ne sert qu'à parler et encore, il n'est pas forcément utile à partir du moment où les mots n'ont plus vraiment de sens puisque nous les utilisons naturellement. Alors, ici, nous avons pu mettre en avant l'aspect restreint du langage, mais nous pouvons tout de même nous interroger sur une fonction bien particulière du langage qui est la survie. III. Mais alors qu'en est-il ? En effet, le langage est vital à l'homme. [...]
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