Syntaxe, grammaire, interrogation, négation, relativisation, subordonnées circonstancielles, paraphrase, groupe nominal, subordonnée relative
La négation est souvent définie comme l'acte de rejeter l'existence de quelqu'un ou de quelque chose. La négation inverse la valeur de vérité d'une proposition ou d'une phrase.
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Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif. Son antécédent est généralement un nom ou un pronom (dans de rares cas, un adjectif ou un adverbe), mais jamais un verbe ou une phrase.
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La proposition subordonnée conjonctive circonstancielle s'oppose à la relative et à la conjonctive complétive. Elle est introduite par un subordonnant que l'on pourrait caractériser comme coloré, à la différence du subordonnant que, incolore, qui ouvre les complétives.
[...] La particularité du forclusif jamais est sa mobilité par rapport au discordantiel (ex : Jamais je ne prends le train) - Négation Exceptive : Ne . que Et ne me prend que l'envie de vivre. Que soustrait de la négativité l'élément sur lequel elle porte. Il est synonyme de : restrictivement, exclusivement, limitativement - L'adverbe : Non Elle vient en autobus, non en train. Non fonctionne comme un adverbe portant sur un seul élément de la phrase. Il permet la réfutation d'un argument en faveur d'un autre. La syntaxe des relatives Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif. [...]
[...] Tu dis qu'il est grand, mais il ne l'est pas. En sémantique, la négation renvoie à quelque chose qui n'existe pas, définit par Moignet comme « le degré nul de la quantité » - Les adverbes de négation totale : ne . pas / ne . point Je ne veux pas le faire. C'est faiblesse d'aimer qui ne vous aime pas. Vas, je ne te hais point. Quand l'infinitif régit un pronom personnel atone, deux ordres se rencontrent : discordantiel et forclusif (pas / point) peuvent encadrer les pronoms (ex : pour ne s'en point vanter) ou se situer de part et d'autre du syntagme complet (ex : pour ne s'en vanter point). [...]
[...] *Qu'il encombrait le paysage, mon arbre fruitier avait un si grand tronc - L'incapacité à la pronominalisation A la différence des subordonnées conjonctives complétives, les subordonnées conjonctives circonstancielles ne sont pas pronominalisables - La reprise par une question Les subordonnées compléments circonstanciels de temps répondent à la question introduite par l'adverbe interrogatif quand ? Il faudra qu'il y aille quand minuit aura sonné. Quand faudra-t-il qu'il y aille ? Les subordonnées constancielles de cause répondent à la question introduite par l'adverbe interrogatif pourquoi ? Quant aux subordonnées circonstancielles de conséquences et aux subordonnées circonstancielles comparatives, elles ne répondent pas à une question spécifique. [...]
[...] - La série composée à partir de lequel est de formation française ; lequel est constitué du déterminant interrogatif-exclamatif quel, précédé du déterminant défini. Lequel s'amalgame avec les prépositions à et de en auquel et duquel. Ces formes varient en genre et en nombre. La commutation est un phénomène qui se produit dans les subordonnées relatives lorsqu'un pronom relatif est substitué par un pronom personnel, souvent avec une transformation de la structure de la phrase. La fille qui est assise à côté de moi s'appelle Marie. [...]
[...] Cela rend la phrase plus informelle et met l'accent sur la fille. La commutation est souvent utilisée dans le langage oral pour exprimer une idée plus spontanée ou familière. Cependant, dans le langage écrit ou formel, il est généralement préférable d'utiliser le pronom relatif plutôt que de faire une commutation. Les subordonnées circonstancielles La proposition subordonnée conjonctive circonstancielle s'oppose à la relative et à la conjonctive complétive. Elle est introduite par un subordonnant que l'on pourrait caractériser comme coloré, à la différence du subordonnant que, incolore, qui ouvre les complétives. [...]
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