Orlando innamorato, Matteo Boiardo, italien, poésie, version, traduction, LLCE Langues Littératures et Civilisations Étrangères
Ce document est une traduction française d'un extrait de l'oeuvre « Orlando innamorato » du poète italien Matteo Boiardo.
[...] Orlando innamorato, extrait - Matteo Boiardo (1545) - Traduction française Il est en effet relativement difficile de trouver une traduction correcte du document original, écrit en italien ancien. Pour plus d'information je vous recommande très fortement de chercher une version traduite s'intitulant, Roland l'Amoureux d''Aristote. Dans un premier temps, vous pourrez néanmoins trouver une traduction purement littérale. Elle correspond à une traduction exacte mot pour mot. Ensuite vous pourrez retrouver une version littéraire et interprétée, adaptée de façon plus poétique, de telle sorte que l'on puisse retrouver éventuellement différentes rimes. [...]
[...] Tous les barons Etaient illuminés, et le roi Carlone aussi Chacun restait immobile et stupéfait, C'est avec grand plaisir que nous visons cet objectif ; Mais Feraguto, le jeune homme audacieux, Elle avait l'air vivante en apparence, Et il l'a pris trois fois pour partie Dites à ces géants ce que vous pensez d'eux, Et trois fois il a eu cette mauvaise idée. Pour ne pas faire honte aux empires 34. Maintenant sur un pied, maintenant sur l'autre si ça change, Se gratte la tête et ne trouve plus de place ; Rainaldo, qui l'avait encore vu, Il est devenu rouge comme un feu sur son visage ; Et Malagise, qui l'a connue, dit lentement : "Je vais faire un jeu avec toi, Ribalta enchanteresse Vous ne regretterez pas d'avoir été ici. [...]
[...] Tous les hommes, par émerveillement, l'ont ciblée, Mais surtout, Orlando s'approche d'elle Avec un corset tremblant et une vue irisée, Bien que la volonté soit cachée ; Et parfois les yeux de la plaine, Car il avait très honte de lui-même "Ow Ow Ow Orlando paccio " dans son cœur dit "Comment voulez-vous le porter ? Tu ne vois pas l'erreur que tu mérites, Et tant de choses contre Dieu te font échouer ? Où me mène ma chance ? Tu vois comme je suis pris et je ne peux pas jouer ; Moi, qui estimais le monde entier, rien, Sans armes, je suis par une fille Je ne peux pas partir du cœur La vue douce du visage serein, Parce que je me sens sans qu'elle ne meure, Et la spirale s'estompe progressivement. [...]
[...] Alors tacitement, le baron de la franchise Il se plaignait du nouvel amour. Mais le duc Naimus, qui est un homme blanc et un homme de chant, Il n'avait pas déjà moins mal au cœur, Anci tremblait et était négligé et fatigué, Ayant perdu toutes les couleurs de son visage. Mais que dire de plus ? Tous les barons Le roi Carlone s'éclaira à son sujet Chacun restait immobile et stupéfait, C'est avec grand plaisir que nous visons cet objectif ; Mais Feraguto, le jeune homme audacieux, Elle avait l'air vivante en apparence, Et il l'a pris trois fois pour une raison. [...]
[...] D'où vient cette chance ? Je n'y peux rien Moi, qui au monde entier ne valait rien, Face à cette femme, je dépose les armes Je ne peux pas laisser partir mon cœur, La douce vue d'un visage serein, Car sans elle, je sens que je meurs, Et l'esprit peu à peu s'éteint. Maintenant je ne me sens ni fort ni audacieux, Contre l'Amour (ou Amor) qui m'a déjà freiné (On ne sait pas s'il s'agit de l'Amour ou d'une personne du nom d'Amor) Je n'ai ni besoin de savoir, ni besoin des conseils des autres Je ne vois que le meilleur, et le pire c'est de m'y accrocher Alors tacitement, le baron franc Se plaignait du nouvel amour. [...]
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