Possible et impossible
Le but de chaque être humain dans la vie est d'atteindre ces ambitions, relever les défis pour arriver à un aboutissement concret, mais qu'en est-il lorsque l'on est confronté à l'échec ? Dans la défaite l'homme peut adopter différentes manières de réagir cela dépendra de but qu'il a voulu atteindre, ses ambitions relèvent-ils du possible ou de l'impossible ? Car suivant la conviction mise en oeuvres pour aboutir, la déception sera plus grande ou pas, ce n'est pas l'impossible qui désespère le plus, mais le possible non atteint
[...] Un exemple qui se répète souvent dans les hôpitaux, ce sont les malades perdants espoirs de guérison face à une maladie incurable. Ils détesteront les soins, les traitements, les médecins . Ils haïront la vie et les gens et se laisseront mourir. Cette attitude reflète que l'impossible est parfois fictif et n'appartient pas toujours au domaine du réel. Il faut savoir la distinction entre l'impossible réel et imaginaire. Car l'impossible imaginaire entraîne l'utopie qui mène à la déception L'impossible est parfois désillusion. [...]
[...] En ce sens, atteindre l'impossible agit comme un horizon régulateur de nos actions. Il est ce que l'on veut atteindre, il est donc moteur du progrès. De la même manière, on pourrait dire que cette capacité de tout désirer est-ce qui nous protège contre les risques de l'insatisfaction : en effet, si l'on se porte sur des objets indéfinis, ou en tout cas qui dépende de nous, alors le risque de l'insatisfaction se fait menaçant. Mais pour parer cette éventualité, une fois que le désir est réalisé, la volonté trouve un autre objet de convoitise, donc l'impossible se renouvelle et recherche un autre outil de son désir plus apte à le contenter. [...]
[...] On doit différencier la notion de l'impossible réel et imaginaire, car l'un désespère et l'autre provoque désir. La notion d'échec face au possible est plus difficile à accepter car elle fait partie du domaine du réel tandis que l'impossible nous protège du sentiment de l'insatisfaction puisqu'il se renouvelle sans cesse. je dirais donc que j'appuie cette citation « ce n'est pas l'impossible qui désespère le plus mais le possible non atteint ». Mais cependant peut-on différencier ce qui est du domaine du réel et de l'imaginaire ? [...]
[...] Familial, quand les relations avec les parents, le mari ou les enfants se détériorent, spirituel, dans notre vie personnelle ou nos relation d'églises. Quel que soit le sujet ou la raison, l'échec est toujours source de souffrance. Automatiquement, une remise en question et une analyse de soi se présente comme favorable pour se rediriger vers de nouvelle choses mais le plus souvent nous essayons de le nier, nous fuyons, cela nous fait peur, nous paralyse. Comme l'enfant qui a peur du monstre sous son lit et n'ose pas franchir le pas et regarder. [...]
[...] Dans la défaite l'homme peut adopter différentes manières de réagir cela dépendra de but qu'il a voulu atteindre, ses ambitions relèvent-ils du possible ou de l'impossible ? Car suivant la conviction mise en œuvres pour aboutir, la déception sera plus grande ou pas, ce n'est pas l'impossible qui désespère le plus, mais le possible non atteint .En tout premier lieu je parlerai que l'impossible suscite le désir, deuxièmement de l'impossible qui nous protège, ensuite j'expliquerai que l'impossible peut-être espoir dans l'imaginaire et enfin les sentiments face à l'échec du réalisable. [...]
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