vérité, philosophes, Pyrrhonisme, question de la vérité, nature humaine
La vérité a depuis toujours fasciné l'homme. Elle représente à la fois des années de travail et de réflexions mais aussi l'inachèvement par excellence : elle est le Graal des philosophes et des scientifiques. Devant tant de fascination, il est impossible d'être indifférent.
Pas forcément. Certain diront que la vérité est indispensable à la vie, et qu'il est dans la nature humaine de la rechercher, alors que d'autres diront qu'elle n'existe pas ou qu'elle n'a aucune valeur et donc qu'il ne faut pas lui donner de l'importance. Cela nous amène au problème suivant : « Est-il possible qu'une personne ne se préoccupe aucunement de la question de la vérité ? »
[...] Par la suite nous avons dit que nous pouvons quand même être indifférent à la vérité, chez les sophistes on dit que rien n'est figé, ou bien que tous le monde à sa vérité. Donc la vérité n'a pas de sens car elle ne peut être universelle. Enfin nous avons vu que l'indifférence été assez délicate à caractériser, du moins avec la vérité, car il y a d'un Homme à l'autre des perceptions différentes dut à nos idéaux (septiques, dogmatiques) et qu'en fait la vérité n'a de sens que celui qu'on lui donne. [...]
[...] Ensuite nous avons les vérités contingentes qui correspondent à des choses plus particulières, c'est vérités sont tirées de l'expérience. Donc le fait d'être indifférent à la vérité nous empêche de nous construire. Nous avons dit que la vérité était partout est que donc on pouvait choisir d'y être indifférent et de refuser de la détenir, et que même si cela reste difficile, cela reste tout à fait faisable. En effet certaines personnes disent que la vérité n'existe pas, et que donc il est impossible de la détenir, ces personnes sont des sophistes (ils préfigurent le scepticisme). [...]
[...] Il nous est donc possible d'y être indifférent, donc refuser de la détenir. Mais cela reste difficile. En effet, la vérité est avant tout une connaissance qui à attient son but, qui nous permet de tirer les conclusions qui nous ouvrent les portes du progrès, donc sans elle le progrès est impossible. Nous pouvons dire que si les hommes étaient insensible à la vérité ils seraient obligés de rester à un stade primaire, sans pouvoir faire évoluer son espèce. Autre point important, il est dans la nature humaine de désirer détenir la vérité. [...]
[...] Enfin il faudrait voir à quelle condition on peut être indifférent a la vérité. En fait cela dépend surtout de nos idéaux, par exemple nous n'auront pas la même perception de la vérité si nous sommes sceptique, dogmatique, ou bien encore un philosophe plus classique tel-que Socrate et son disciple Platon. Ensuite, il est difficile de dire si on est indifférent ou non à la vérité car trop de paramètres jouent entre le fait qu'il y aurait une vérité et le fait que l'on se sente impliqué par cette vérité. [...]
[...] Peut-on être indiffèrent à la vérité ? La vérité a depuis toujours fasciné l'homme. Elle représente à la fois des années de travail et de réflexions mais aussi l'inachèvement par excellence : elle est le Graal des philosophes et des scientifiques. Devant tant de fascination il est impossible d'être indifférent. Pas forcement. Certain diront que la vérité est indispensable à la vie, et qu'il est dans la nature humaine de la rechercher, alors que d'autres diront qu'elle n'existe pas ou qu'elle n'a aucune valeur et donc qu'il ne faut pas lui donner de l'importance. [...]
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