Nature et culture - publié le 25/04/2013

Thèmes abordés

nature, culturel, homme, puissance autonome, Aristote

Résumé du document

La nature est une puissance autonome, a créé quelque chose par soi-même. Même si le résultat de sa production peut être détruit par autre chose en l'occurrence l´homme.
Aristote oppose la nature à l´artificiel, ça peut rappeler la culture. Comment établir une limite entre les deux ?

Extraits

[...] L´existentialsime de Sartre Celons Sartre si la nature humaine est depandente de la culture pour lui ca veut simpelment dire qu il n y a plus de nature humaine, il faut rennoncer a l´idée de nature humaine. L´existence chez l´homme précède l´essence. L ´homme est condamné a être libre. Pour Sartre il ny a pas de nature humaine mais il y a une condision humaine. Mais Sartre dit encore si ej en chosiis pas les conditions dans lesquelles je suis né seul moi leurs donneun sens. [...]

[...] La nature ce n´est pas le vivant 2. La nature ¨comme fondement¨ La nature c´est l´ensemble des forces qui permet à la vie d´apparaitre. La nature c´est ce qui possède en soi le principe de sa détermination. Physis : C´est la notion qui précède celle de la nature. Ca désigne une puissance créatrice autonome. (Par rapport à notre époque on commence à renter dans une définition de la nature, de l´ordre de quelque chose d´organiser de stable. Pour les grecs avant Aristote la nature est incontrôlable, mais après lui c´est quelque chose d´organisé de stable, surtout notre époque normal qui nous donne cette impression de maitrise.) Heidegger à montrer que chez les grecs, la notion qui précède celle de la nature, telle que va la définir Aristote, c´est la notion de physis qui évoque une puissance créatrice à la fois autonome c´est à dire mystérieuse et donc incontrôlable. [...]

[...] Hors celons les modernes l´idées de norme a de sens que pour une conscience qui pose une fin et donc n a de sens que pour l´homme, et est réservée a la réflexion sur les valeurs. Et d´une manière plus générale définit le domaine spécifique de la culture. Celons les modernes les anciens confondent l´être et le devoir d´être, (ex : justice, Pour les anciens tous les phénomènes de l´univers que ce soit les animaux, les hommes ou bien même le reste de l´univers est compris à travers cette intuition, que chaque être tend vers une certaine perfection qui finalement organise l´univers tout entier. Il n'a pas de distinctions: L´univers possède une certaine finalité. [...]

[...] I-La nature 1. La nature général¨ Cette option de nature est familière mais vague voire familière La nature pour certaine personne évoque d´abord la ¨campagne¨ : Le monde qui n´est pas celui des hommes. L´univers, les lois de la nature Derrière le paradoxe de dire que la nature n´est pas seulement celui des hommes mais aussi l´endroit où l´homme est né. Le second paradoxe est le rapport entre l´homme et la nature. Il va être exprimé par la notion de l´être humain. [...]

[...] II-Le passage de la nature a la culture 1. Le problème des critères du passage de la nature a la culture Il une certaine difficulté général à identifier certain critères qui appartient a la culture et qui la couvrirai dans son entier. D´autres critères comme la société et le langage nous obligerais plutôt à comprendre ce que distingue une société animale et ce qui distingue le langage animal du langage humain. Il faut plus penser le passage de l´animalité a l´humanité comme le passage du ponctuel au systématique, de l´exceptionnelle au courant. [...]