Démocrite est représentée par une femme les yeux bandés, signe de son impartialité, qui porte un glaive comme symbole de son aspect répressif et de l'application des peines, et une balance sur laquelle elle soupèse les forces de soutien et d'opposition dans une affaire. Son nom nous provient du latin, de Justitia, la déesse de la justice.
Vous l'avez donc compris, dans cette dissertation, nous parlerons de la justice. Nous la confronterons à divers points vus au cours, à la citation de Démocrite « Ne dis ni ne fais rien de mal, même si tu es seul. Apprends à rougir bien plutôt devant toi-même que devant les autres », ainsi qu'à la formule pastiche de Glocon « Nul n'est juste volontairement ».
[...] Mais cela n'est pas le sujet de cette dissertation, alors passons de suite à l'analyse de la formule pastiche de Glocon. Nul n'est juste volontairement cette citation, nous vient de la légende L'anneau de Gygès Dans cette histoire, Gygès, un berger, trouve lors d'un tremblement de terre la tombe d'un géant qui ne porte qu'un anneau. Il s'approprie l'anneau et se rend assez vite compte qu'il possède entre ses mains le pouvoir d'invisibilité : il ne lui suffit que de tourner le chaton de la bague pour disparaitre de la vue des autres. [...]
[...] Pourtant, ce sont des hommes comme les autres, ils mériteraient les mêmes droits, le même respect. Max Boublil, un humoriste-chanteur français, a même écrit une chanson appelée boom boom boom, dans laquelle il insiste sur le fait que nous sommes égaux, que nous avons tous un cœur ; que ce ne sont pas les bombes, mais nos cœurs qui font BOOM BOOM BOOM Pour conclure, il y a un peu de vrai dans les citations de Socrate, Glocon et de Démocrite. [...]
[...] Nous la confronterons à divers points vus au cours, à la citation de Démocrite Ne dis ni ne fais rien de mal, même si tu es seul. Apprends à rougir bien plutôt devant toi-même que devant les autres ainsi qu'à la formule pastiche de Glocon Nul n'est juste volontairement Nous appliquerons d'abord ces confrontations au passé pour revenir vers le présent jusqu'à aujourd‘hui. Mais sans plus attendre, entamons ce voyage sur les suites de la justice. Dans l'introduction, nous avons parlé d'une déesse romaine, Justitia. [...]
[...] A ce sujet d'ailleurs, on peut aussi analyser la citation de Démocrite Ne dis ni ne fais rien de mal, même si tu es seul. Apprends à rougir bien plutôt devant toi-même que devant les autres Dans la première partie, Ne dis ni ne fais rien de mal, même si tu es seul l'auteur nous déconseille de faire une injustice, une bêtise, car tout fini toujours par se savoir : si les cambrioleurs n'étaient pas aussi seuls qu'ils ne le pensaient, qu'un témoin les avais vus, ou encore, grâce aux nouvelles découvertes, s'ils avaient laissé une trace de leur ADN dans la maison, ils pourraient être retrouvés par les services de police ; cela va de même quand l'un des parents découvrent la bêtise des enfants, mis à part qu'ils doivent moins chercher après le coupable. [...]
[...] Il y a donc du faux et du vrai puisqu'il existe bel et bien des hommes justes, mais aussi qu'il est vrai que ce sont les hommes qui ont le plus d'atouts pour l'être qui sont injuste. La justice est une conséquence de la justice, et pour éliminer une conséquence, il faut d'abord en finir avec sa cause. Si nous voulons en avoir fini pour de bon avec la justice, il faudrait qu'il n'y ait plus aucune injustice Mais l'homme en est-il vraiment capable ? [...]
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