connaissance, soi, sincère
L'homme par sa différence avec l'animal se croie doter d'une connaissance de sois absolu et sincère. Aussi admettre que la connaissance de soi peut ne pas être sincère blesse « l'égoïsme naïf de l'humanité' » et n'est pas facile à admettre. La connaissance de soi même est particulière dans la mesure où le sujet est « juge et partie ». Cette difficulté oblige une recherche exigeante d'objectivité particulièrement si cette connaissance devait avoir des effets quelconques.
[...] Freud veux exprimer par sa théorie l'impossibilité radicale a l'homme de s'analyser en toute transparence. Il existe un moi que chaque sujet définit et caractérise. Ce moi contient tous les critères que nous avons élus comme définissant celui que nous sommes tous. Chaque être crée son singulier dans la singularité grâce à ces différents critères. Ces critères sont ou bien définit par une analyse de soi même ou bien par un désir de les quérir nous menant à leur posséder. Seul la sincérité peut permettre de justes observations et acquisitions de trais réels. [...]
[...] Ce jugement non sincère implique comme a chaque fois une connaissance de sois non sincère. Ce nouveau critère doit être la cible de nombreuses introspection qui permettront au sujet d'éclairer cette zone d'ombre de lui- même et de nouveau seul la sincérité lui permettra une analyse objective. Hors pour les raisons que nous avons cité, l'analyse est subjective ainsi elle tendra vers la sincérité la plus pure sans jamais arriver a une sincérité totale. L'orgueil de l'humanité est responsable de cette absence de sincérité car le moi préétabli déjà avec les mêmes erreurs ne pourra juger cette nouvelle donné qu'il doit traiter avec la sincérité idéalement requise. [...]
[...] Une connaissance de soi ne peu exister que grâce a ce phénomène de retour sur soi et d'autoanalyse. Ainsi lorsque nous pensons ou que sommes soumis a une confrontation au monde extérieur nous avons la capacité psychique d'effectuer un retour sur nous même. Grace a cette possibilité d'introspection nous apprenons à nous connaître et a savoir qui nous sommes. La mise en place du caractère d'une personne, de son moi, ne vient que vers la fin de la jeunesse ce qui nous permet de confirmer l'idée d'une connaissance de soi dut a un apprentissage de nous même alors sujet de notre propre réflexion. [...]
[...] Effectivement ce moment dans l'évolution d'une idée peut rester sombre et non traiter par le sujet se qui est la preuve d'une impossibilité a la sincérité permanente. Cependant si nous acceptons l'existence de cette inter-conscience nous pouvons nous résoudre a de nombreuses et minutieuses introspection qui nous permettrai de contré cette espace intermédiaire en jugeant tout se qui s'y trouve. A ce moment intervient de nouveau notre jugement. Cette pulsion représente une idée, un critère du moi que notre absence de sincérité nous a empêcher d'accepter et d'affecter directement aux critères du moi. [...]
[...] La connaissance de soi peut-elle être sincère ? L'homme par sa différence avec l'animal se croie doter d'une connaissance de sois absolu et sincère. Aussi admettre que la connaissance de soi peut ne pas être sincère blesse l'égoïsme naïf de l'humanité' et n'est pas facile à admettre. La connaissance de soi même est particulière dans la mesure où le sujet est juge et partie Cette difficulté oblige une recherche exigeante d'objectivité particulièrement si cette connaissance devait avoir des effets quelconques. [...]
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