HLP Humanités Littérature et Philosophie, Allemagne nazie, John Fitzgerald Kennedy, humanité, L'enfant des camps, Francine Christophe, Seconde Guerre mondiale, guerre, La Nuit, Elie Wiesel, idéologie nazie, procès d'Adolf Eichmann, Hannah Arendt, être humain
John Fitzgerald Kennedy a dit : « L'humanité devra mettre un terme à la guerre, ou la guerre mettra un terme à l'humanité ». Ayant depuis toujours été attirée par le comportement des Hommes entre eux pendant la guerre, notamment la Seconde Guerre mondiale, j'ai choisi de traiter la question : « L'être humain perd-il son humanité pendant la guerre ? ». Nous nous concentrerons donc sur la Seconde Guerre mondiale, guerre qui a, de par sa violence extrême et sa cruauté, ébranlé le monde. Nous verrons d'abord que la guerre éloigne l'Homme de son humanité puis, que ce dernier ne la perd pourtant pas nécessairement.
[...] C'est le cas d'Oskar Schindler. Il avait adhéré au parti nazi dans le but de s'enrichir mais qui est connu pour avoir finalement sauvé plus de 1100 juifs, comprenant hommes, femmes et enfants, en les employant dans ses entreprises pour les faire sortir des camps d'extermination. On peut dire que c'est l'humanité de l'homme qui le rend inhumain car l'une des caractéristiques de l'homme est son instinct de survie, de préservation, qui le pousse à s'adapter à toutes les situations, même les plus extrêmes. [...]
[...] Le chocolat était une denrée rare dans les camps mais elle a accepté de le donner à une inconnue qui en avait plus besoin qu'elle. Pour conclure, on peut dire que la guerre éloigne l'homme de son humanité mais que certain la conserve pourtant. C'est le cas du résistant, qui lutte activement contre les nazis, du déporté qui, bien qu'il soit traité comme un animal, fait encore preuve de solidarité, ou encore du soldat allemand, qui est forcé de faire taire son humanité pour exécuter les ordres et survivre. [...]
[...] Elle a conduit à la disparition de deux tiers d'entre eux. Des camps d'extermination étaient mis en place afin de, comme son nom l'indique, les exterminer après les avoir torturés aussi bien mentalement que physiquement. L'homme, précisément le déporté, est privé de son humanité par les soldats allemands. Il n'est plus considéré comme un homme mais comme une bête. La première forme de déshumanisation des Juifs est le numéro qu'on leur tatoue sur le poignet à leur arrivée dans les camps. [...]
[...] De plus, pendant la guerre, les civils s'éloignent aussi de leur humanité en acceptant la situation et en taisant les horreurs commises. Certains s'y résignent, tandis que d'autres collaborent, voire adoptent les idéologies nazies, comme c'est le cas du maréchal Pétain, dirigeant du régime de Vichy. Le maréchal collaborait volontairement avec les nazis, dénonçant et envoyant les Juifs dans les camps de concentration. La guerre éloigne donc l'homme de son humanité puisque le soldat ne considère plus le déporté comme un homme et il le déshumanise à tel point que même le déporté ne se sent plus « humain » et se comporte comme un animal. [...]
[...] L'être humain perd-il son humanité pendant la guerre ? - Grand oral d'HLP L'être humain perd-t-il son humanité pendant la guerre ? John Fitzgerald Kennedy a dit : « L'humanité devra mettre un terme à la guerre, ou la guerre mettra un terme à l'humanité ». Ayant depuis toujours été attirée par le comportement des Hommes entre eux pendant la guerre, notamment la 2nde GM, j'ai choisi de traiter la question : « L'être humain perd-t-il son humanité pendant la guerre ? [...]
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