Thèse soutenue par Mademoiselle Muriel RABAULT en 1997 à Poitiers sous la direction de Monsieur le Professeur Pierre MAGNARD qui enseignait à l'université de la Sorbonne. Reprenant la problématique inaugurée par l'esthétique moderne (BAUMGARTEN et KANT), qui rapporte les conditions de possibilité d'un jugement de goût sur le beau essentiellement au désintéressement subjectif et à l'harmonie des formes, cette thèse veut évaluer la légitimité d'une esthétique pure, en suivant un parcours qui fait se succéder points de vue critique, théorique, pratique et religieux, avant de conclure, dans une cinquième partie, sur la signification dernière de l'art.
Sommaire
I/ APPROCHE CRITIQUE
1. La désignation (problème philologique) : y-a-t-il un ou des termes pour signaler la beauté ? 2. L'image (problème symbolique) :quelles images littéraires (phores) ou plastiques (icônes) représentent la beauté ? 3. Les manifestations (problème méthodologique) : de quoi la beauté est-elle le signe ?
II/ APPROCHE THEORIQUE
1. La connaissance (problème gnoséologique) : la beauté est-elle connaissable ? 2. L'être (problème ontologique) : quel degré d'être la beauté revêt-elle ? 3. L'existence (problème métaphysique) : la beauté correspond-elle à une réalité vécue ? 4. L'inhérence (problème logique) : la beauté est-elle substance ou attribut c'est-à-dire chose indépendante ou expression d'une réalité plus large ? 5. Le substrat (problème philosophique) : de quoi la beauté est-elle faite ?
III/ APPROCHE PRATIQUE
1. Le siège (problème topique) : la beauté a-t-elle un lieu ? Est-elle en nous ou à l'extérieur de nous ? 2. Les supports : par quels canaux la beauté se manifeste-t-elle ? 3. Les fonctions : quels rôles la beauté joue-t-elle ? 4. Quelle est la relation vie / beauté ?
IV/ APPROCHE RELIGIEUSE
1. La cause (problème étiologique) : quel est le statut de la beauté avant de nous être révélé par l'artiste ? 2. L'origin e(problème génésiaque) : d'où vient la beauté ? 3. La durée (problème théologique) : la beauté sera-t-elle encore recherchée comme la trace de l'invisible mystère divin ? 4. Le culte (problème rituel) : doit-on rendre un hommage religieux à la beauté ?
V/ SIGNIFICATION DERNIERE DE L'ART
1. L'art comme lien : en quoi ce lien subvient-il au défaut de la nature ? 2. Le souvenir de la trace : comment observer le beau dans son essence même ? 3. L'infini à l'origine d'une création sans cesse renouvelée
CONCLUSION
I/ APPROCHE CRITIQUE
1. La désignation (problème philologique) : y-a-t-il un ou des termes pour signaler la beauté ? 2. L'image (problème symbolique) :quelles images littéraires (phores) ou plastiques (icônes) représentent la beauté ? 3. Les manifestations (problème méthodologique) : de quoi la beauté est-elle le signe ?
II/ APPROCHE THEORIQUE
1. La connaissance (problème gnoséologique) : la beauté est-elle connaissable ? 2. L'être (problème ontologique) : quel degré d'être la beauté revêt-elle ? 3. L'existence (problème métaphysique) : la beauté correspond-elle à une réalité vécue ? 4. L'inhérence (problème logique) : la beauté est-elle substance ou attribut c'est-à-dire chose indépendante ou expression d'une réalité plus large ? 5. Le substrat (problème philosophique) : de quoi la beauté est-elle faite ?
III/ APPROCHE PRATIQUE
1. Le siège (problème topique) : la beauté a-t-elle un lieu ? Est-elle en nous ou à l'extérieur de nous ? 2. Les supports : par quels canaux la beauté se manifeste-t-elle ? 3. Les fonctions : quels rôles la beauté joue-t-elle ? 4. Quelle est la relation vie / beauté ?
IV/ APPROCHE RELIGIEUSE
1. La cause (problème étiologique) : quel est le statut de la beauté avant de nous être révélé par l'artiste ? 2. L'origin e(problème génésiaque) : d'où vient la beauté ? 3. La durée (problème théologique) : la beauté sera-t-elle encore recherchée comme la trace de l'invisible mystère divin ? 4. Le culte (problème rituel) : doit-on rendre un hommage religieux à la beauté ?
V/ SIGNIFICATION DERNIERE DE L'ART
1. L'art comme lien : en quoi ce lien subvient-il au défaut de la nature ? 2. Le souvenir de la trace : comment observer le beau dans son essence même ? 3. L'infini à l'origine d'une création sans cesse renouvelée
CONCLUSION
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