Mémoire de culture générale, synthèse de conférences, sociétés contemporaines, Olivier Guiral, Pierre-Yves Kirschleger, Yohan Briant, Laurent Duguet, révolutions, sciences politiques, démographie française, laïcité, religion, Chine, écologie, journalisme, fake news, coronavirus, géopolitique
Au cours de ce cycle de conférences, divers intervenants ont été mobilisés et chacun d'entre eux a pu proposer des thématiques particulièrement intéressantes reflétant bien la diversité des enjeux des sociétés contemporaines. Ainsi, avant d'exposer les différentes conférences, il semble opportun de présenter brièvement le parcours de chaque intervenant afin de replacer les comptes rendus à venir dans un certain contexte.
Premier intervenant : Olivier Guiral
Olivier Guiral est professeur agrégé d'histoire-géographie depuis 2017. Il a réalisé au cours de son parcours universitaire une expérience à l'ambassade française de La Paz. Avant d'être définitivement affecté à l'université de droit et de sciences politiques de Montpellier, il a alterné ses années d'enseignements avec d'autres fonctions, comme chargé de tutelle financière au ministère des Solidarités et de la Santé à Paris, directeur d'Alliance française au Pérou ou encore chargé de mission et adjoint à la Délégation académique à l'éducation artistique et à l'action culturelle du rectorat de Montpellier. Il est par ailleurs actuellement en doctorat d'histoire, et a choisi de se spécialiser en relations internationales espagnoles.
[...] Il est par ailleurs important de préciser que dans le droit français, les sources d'information des journalistes sont extrêmement bien protégées. D'un point de vue plus large, cette protection des sources est garantie par une jurisprudence de la Cour européenne des droits de l'homme, qui la définit comme une condition essentielle au libre exercice du journalisme et au respect du droit du public d'être informé des questions d'intérêt général . Cependant, la diversité des sources est particulièrement importante, voire nécessaire. [...]
[...] Avant d'être définitivement affecté à l'université de droit et de sciences politiques de Montpellier, il a alterné ses années d'enseignements avec d'autres fonctions, comme chargé de tutelle financière au ministère des Solidarités et de la Santé à Paris, directeur d'Alliance française au Pérou ou encore chargé de mission et adjoint à la Délégation académique à l'éducation artistique et à l'action culturelle du rectorat de Montpellier. Il est par ailleurs actuellement en doctorat d'histoire, et a choisi de se spécialiser en relations internationales espagnoles. Second intervenant : Pierre-Yves Kirschleger Pierre-Yves Kirschleger est maître de conférences à l'université Paul Valéry de Montpellier. [...]
[...] Cependant, de nos jours, plus de 75% des Européens de tous les âges continuent de s'identifier à une religion, bien que cela recouvre des pratiques et des engagements très variables. Il existe ainsi parfois une certaine distance entre les attitudes personnelles et les appartenances sociales. En effet, à titre d'exemple, plus de la moitié des Suédois affirment appartenir à une confession, et ce, tout en se disant non religieux. Les cercles d'appartenance En ce qui concerne le sentiment religieux abordé précédemment, ce dernier peut être modélisé sous la forme de cercles d'appartenance. [...]
[...] La première trace de ce mot date de 1190. Il est ainsi issu du bas latin revolutio , venant lui-même du latin classique revolutum signifiant retour ou cycle . Enfin, selon le dictionnaire de sciences politiques de Philippe Braud et Pierre Birbaum de 2001, il s'agit d'un renversement soudain d'un régime politique par un mouvement populaire, le plus souvent sans respect des formes légales et entraînant une transformation des structures sociales, politiques et culturelles d'une société. Par la suite, l'acception élargie du terme est en lien avec des changements scientifiques, technologies ou culturels majeurs, comme à titre d'exemple la révolution copernicienne désignant le renversement de la représentation du monde et de l'univers entre le 16[e] et le 18[e] siècle, ou encore la révolution industrielle du 19[e] siècle. [...]
[...] Il est par ailleurs aussi pertinent de se questionner quant à une dilution de la mythologie révolutionnaire après 1945, via notamment la doctrine Truman qui s'est imposée dès 1947 et qui va modifier les représentations en association révolution, guerre et communisme. Conclusion générale Ainsi, plusieurs éléments clés ont pu être mis en évidence au cours de cette conférence. Tout d'abord, le terme de révolution est extrêmement ambigu, signifiant à la fois retour au point d'origine et rupture radicale pour aller de l'avant . De plus, la révolution se caractérise par une sorte de double illusion, avec d'une part l'impossibilité d'un retour à l'ordre ancien, mais d'autre part une rupture totale inenvisageable. [...]
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