Dans une première partie, on pourrait mettre en valeur le fait que la technique nous permet dans une certaine mesure de maîtriser la Nature. Et donc de bénéficier d'une vie plus facile et plus confortable. C'est ce que veut dire Descartes lorsqu'il écrit que le progrès technique nous permet de devenir « comme maître et possesseur de la nature » (Discours de la méthode).
A partir de là, on peut relever toutefois la contradiction suivante : la technique qui avait pour but à l'origine de remédier à nos faiblesses et nos limites physiques ne nous rendrait-elle pas en réalité plus faible ? En ce sens, Rousseau remarque que notre corps aurait tendance à s'habituer au confort et ainsi à perdre de sa force ou de sa résistance (Discours sur les sciences et les arts).
D'autre part, il n'est pas sûr que nous devons attendre du progrès technique des raisons d'être heureux.
Enfin, dans une dernière partie, il s'agirait de mettre en valeur que la réglementation du progrès technique est sans doute nécessaire si l'on ne veut pas que la puissance technique échappe à lui-même et le dépasse (exemples : le mythe de Prométhée, et une de ses versions modernes Frankenstein de Mary Shelley).
[...] Par conséquent, il ne s'agit pas de faire du social. Enfin, il s'agit toujours de démontrer son propos. III L'introduction du devoir Le travail de reformulation est très important. Reformuler une question ne consiste pas seulement à proposer des synonymes mas à déterminer ce qui est implicite dans le sujet et à cerner les enjeux sur le plan philosophique. Il faut également expliquer pour quelle raisons la question du sujet se pose. Exemple : A quoi sert la raison ? [...]
[...] C'est la raison pour laquelle il semble nécessaire de s'interroger sur l'efficacité de la raison (de cette faculté). Il faut enfin présenter les différentes parties du développement en mettant en valeur la progression logique de celui-ci. IV La conclusion Elle consiste dans un bilan et non pas dans la répétition du développement. Il est possible d'élargir la réflexion. Cependant, il faut éviter de le faire sous forme de question. Par contre, il faut faire attention à ce que l'ouverture ne fasse pas partie intégrante du sujet, sinon il devra être traité au niveau du développement. [...]
[...] II Que siginfie le fait qu'un devoir progresse ? (Partie du développement) Cela veut dire d'abord que l'on doit conserver ce que l'on a écrit au début du développement tout en se donnant la possibilité d'aller plus loin. Exemple : Est-il légitime de réglementer le progrès technique ? Dans une première partie, on pourrait mettre en valeur le fait que la technique nous permet dans une certaine mesure de maitriser la Nature. Et donc de bénéficier d'une vie plus facile et plus confortable. [...]
[...] Enfin, dans une dernière partie, il s'agirait de mettre en valeur que la réglementation du progrès technique est sans doute nécessaire si l'on ne veut pas que la puissance technique échappe à lui-même et le dépasse (exemples : le mythe de Prométhée, et une de ses versions modernes Frankenstein de Mary Shelley). Il s'agirait de donner du sens au sujet. Dans ce cadre-là, toutes les interprétations d'un mot qui se révèlent cohérentes par rapport à la logique du sujet sont à retenir. Exemple : Peut-on tout dire ? Le verbe pouvoir peut signifier la capacité ou bien la permission. Dans le sujet en question, les deux interprétations son possibles : est- il permis de tout dire ? Et d'autre part, les mots nous donnent-ils la possibilité de pouvoir tout exprimer. [...]
[...] L'idée de maîtrise concerne le domaine technique ; mais elle renvoit aussi à la question de l'autorité et du pouvoir, au problème de l'éducation et à la question de la nature du pouvoir politique. Cela pose donc implicitement la question de la liberté. Enfin, on rencontre le terme maître dans le domaine de l'art : à partir de quels critères peut-on qualifier un artiste de maître. Enfin dans le domaine juridique, un avocat est appelé maître : au nom de quoi ? Et qu'est-ce que cela sous-entend par rapport à l'idée de maîtrise ? [...]
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