Sciences humaines et arts, théories philosophiques, probabilités, interprétation classique, interprétation physique, interprétation épistémique, Théorème de Bayes, Théorème de Bernoulli
La détermination de la probabilité tient à notre ignorance partielle des conditions de réalisation de l'événement. Le paramètre pour mesurer vaut subjectivement (car il calcule une détermination qui tient au sujet connaissant et non au réel). Laplace ; la probabilité est relative à notre ignorance et à notre connaissance ; « la théorie du hasard consiste à réduire également tous les événements du même genre à un nombre de cas possibles c'est-à-dire à ce que nous soyons également indécis sur leur existence et à déterminer le nombre de cas favorables à l'événement dont on cherche la probabilité.
[...] Ensuite, elle va prendre un amortisseur produit par n'importe quelle firme : il est fiable, donc il y a 1/3 chance que cet amortisseur vienne de Topchoc > Il y a donc un va-et-vient entre la perspective fréquentiste et épistémique. Les deux approches divergent selon l'importance à accorder à l'idée centrale de la probabilité. Pour les fréquentistes : Bernouilli, pr les épistémiques : Bayes. Les bayésiens sont meilleurs pr établir les diagnostiques et les fréquentistes pour trouver le bon traitement (médicament). Conclusion : il est possible de chiffrer l'incertitude. La probabilité est à la fois un guide pour la connaissance mais aussi pour l'action. Dompter l'incertitude permet d'avancer. [...]
[...] Relation d'une proposition avec les conditions qui la soutiennent. Pex : comment expliquer la disparition des dino ? Hypothèse H l'astéroïde E événement données (prce de couches d'irodium ont été datées de l'époque de leur disparition) du coup, on calcule C(H - Relatif à un certain degré de connaissance. Indépendant au sujet. Logique inductive de Carnap. interprétation épistémique subjective : mesure le degré de croyance personnelle ou psychologique à partir d'une prédiction ou d'une hypothèse. (Ramsey, Savage, De Finetti). Comment la chiffrer ? [...]
[...] La double nature des probabilités - Y. Hacking, Ouverture au probable, Chp 4 > distinge la probabilité en de ce que l'on mesure cad soit un événement, soit une proposition. Cournot distingue les probabilités objectives (mesurent la probabilité de qq chose) des proba subjectives ou épistémique (relatives à notre connaissance ou ignorance). - La probabilité à 2 : elle peut calculer la probabilité épistémique qui mesure la croyance ou l'état de connaissance cad qu'on mesure notre degré de certitude et notre jugement ( épistémique Ou alors, elle peut calculer la probabilité physique cad la mesure de la possibilité de réalisation d'un événement. [...]
[...] Le pari doit respecter les règles de calcul des probas. Se soumettre à l'apprentissage de l'expérience. les fréquentistes s'opposent aux bayésiens. Ces deux interprétations sont-elles irréductibles ? - Les dogmatiques considèrent que oui. En revanche, Hacking (L'ouverture au probable p160) pense qu'il s'agit d'un même concept qui a une double face. Il montre avec l'exemple d'un jeu de 1000 boules qu'il n'y a pas une grande différence entre les différentes approches. Au chapitre 11, Hacking parle même de va-et-vient Il faut faire un va-et-vient entre les deux approches selon l'objet que l'on prend en étude. [...]
[...] Cette cohérence respecte le principe du calcul des probabilités. D'autant plus que nos croyances évoluent constamment car les données de base sont ss cesse modifiées (météo) Théorème de Bayes(1702-61)il a déduit son théorème du calcul des probabilités. Ce calcul permet de représenter la probabilité avec la nouvelle hypothèse à partir de l'hypothèse initiale > quantification de l'apprentissage : passage de l'a priori à l'a posteriori. Ensuite, comparaison des résultats. L'hypothèse est confirmée quand la probabilité a posteriori est supérieure à la proba a priori. [...]
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