deux chapitres de philosophie : le sujet, le conscient, l'inconscient, autrui, le désir, la culture, le langage, l'art et l'histoire. pour les intéressés de la philosophie, voila une trentaine de page de cours.
[...] - Si, au contraire, les désirs peuvent parfois nous déterminer comme nos sentiments alors le rapport à la loi morale passe nécessairement par des obligations, par des contraintes, qui sont celles fixées par l'éducation, ce qui peut me conduire parfois à avoir mauvaise conscience. L'action faite par devoir est celle dont le principe est nécessairement moral et dont la seule fin est le bien. L'action conforme au devoir est celle qui apparemment est morale mais il y a toujours un intérêt. Exemples : Conserver sa vie, est-ce être moral ? Conserver sa vie, c'est ne pas se suicider. [...]
[...] La psychologie est l'étude de l'âme. Le sens moral qui équivaut au sens à posteriori est une synthèse, ce qui suppose un savoir sur soi déjà construit et un système de valeur élaboré. La société élabore des valeurs (le bien et le mal ) à partir de la synthèse d'expériences vécues plaisantes ou déplaisantes. Ces perceptions peuvent être différentes, notamment d'une classe sociale à l'autre. Dès lors la prise de conscience va être considéré comme une purification du regard et d'ascétisme. [...]
[...] il n'est rien qui puisse arrêter l'impétuosité de mes désirs: je me sens un cœur à aimer toute la terre; et comme Alexandre, je souhaiterais qu'il y eût d'autres mondes, pour y étendre mes conquêtes amoureuses. Molière, Don Juan, Acte 1 scène II Don Juan conçoit, non pas qu'une personne est belle parce qu'elle a des valeurs morales, mais simplement parce qu'elle a une belle apparence. Son seul plaisir est de satisfaire ses désirs, et à force de ne vouloir que le plaisir il est totalement aliéner. Aucun contrat moral n'est à respecter. [...]
[...] Le but est de comprendre le processus qui conduit une personne à tomber malade et la guérir. Freud applique le principe de causalité à l'étude des maladies psychiques. Il part de l'idée qu'une maladie donné est nécessairement l'effet d'un événement qui en est la cause mais dont l'individu au départ est incapable de se souvenir. Le but, c'est de parvenir à interpréter la parole du malade, sachant qu'elle est chargée de symptômes. Un symbol est ce qui représente une chose, en vertue d'une correspondance analogique. [...]
[...] L'autre n'est jamais un moyen, c'est toujours une fin, c'est à dire : ce qui impose des limites à mes actions, et un but car j'ai pour fin son bien. III. Peut-on poser à partir de là que le bonheur serait la récompense de la vertu? Si le bonheur est la récompense de la vertu, c'est que : o Ce qui ne sont pas vertueux ne sont pas heureux o En effet, en étant raisonnable, cela permet de garder une juste mesure en toute chose. [...]
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