servitude, soumission, obéissance, nature humaine, liberté, autorité légitime, liberté civile, Rousseau, Diderot, Constant, Freud, Hobbes
Dans la lettre 11, il décrit les passions comme visage de la liberté. (Egoïsme du fermier) : barbarie, guerre permanente, ne débouche pas sur une liberté permanente.
Cette lettre met en avant une forme de liberté : la licence.
Dans la lettre 12, on a plus à faire à la soumission mais à l'obéissance. Cette loi met en avant l'autonomie. (Condition de l'humanité)
[...] (Condition de l'humanité) Une soumission inscrite dans la nature humaine. Pour Freud, l'humanité est contrôlée par un homme tout puissant. Chez Hobbes, c'est l'état de guerre permanent. Freud : communauté fraternelle régie par des règles communes. Hobbes : obéissance à une volonté. La liberté au sens de licence n'existe pas (débouche sur le malheur), on nous explique que c'est avec la soumission et l'obéissance que la liberté est possible. II/ L'obéissance comme condition de la liberté À quelles conditions l'obéissance à la loi peut-elle garantir la liberté ? [...]
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