Roussseau, biographie, souveraineté, la primauté, lien social
Il est né en 1712 et est mort en 1778. Il a la particularité d'avoir été souvent battu par son père durant son adolescence. Il a été mal élevé par un père instable, alors il s'enfuit. Il arrive en Savoie et il est recueillit par un curé catholique qui le confie à Mme de Warrens. Cette femme au départ le déteste et ne sait pas quoi en faire donc elle l'envoie dans un hospice à Turin, l'hospice des catéchumènes. Il s'enfuit et va devenir un mendiant, un vagabond. Après quelques années, il revient voir Mme de Warrens et elle en fait son amant.
[...] Donc, le peuple doit exercer directement et par monopole la fonction législative. Le problème chez Rousseau, c'est que ce pouvoir ne peut être confié ni au gouvernement, ni à une assemblée représentative car la volonté générale ne peut être représentée. Ces députés peuvent quand même être des mandataires, des commissionnaires qui ont une mission de représentation du peuple qui décident en son nom. Rousseau précise qu'il ne peut pas exister de corps intermédiaires entre l'opinion entre chacun et l'opinion du corps. [...]
[...] Rousseau ou la primauté de la volonté générale Il est né en 1712 et est mort en 1778. Il a la particularité d'avoir été souvent battu par son père durant son adolescence. Il a été mal élevé par un père instable, donc il s'enfuit. Il arrive en Savoie et il est recueillit par un curé catholique qui le confie à Mme de Warrens. Cette femme au départ le déteste et ne sait pas quoi en faire donc elle l'envoie dans un hospice à Turin, l'hospice des catéchumènes. [...]
[...] elle est absolue : à l'absolutisme du monarque, Rousseau substitue l'absolutisme de la volonté générale. Cet absolutisme de la volonté générale est issue du pacte social. Dans ce cas, pour Rousseau, les droits, mêmes les plus fondamentaux de l'individu, doivent toujours s'effacer devant cet absolutisme, y compris la vie. L'ensemble des citoyens pour Rousseau sont égaux en droit, libres et guidés par la volonté générale. La conséquence est que cette souveraineté populaire chez Rousseau se traduit à travers un régime de démocratie directe mais difficile à appliquer et donc Rousseau pense qu'il faudrait mieux adopté un régime semi-direct. [...]
[...] À cette souveraineté, il va donner 4 caractères : cette souveraineté est infaillible : elle est formée de particuliers qui la compose. elle est inaliénable : le peuple dans son ensemble, ne peut pas promettre d'obéir à un chef. Cela à pour conséquence que la volonté générale du peuple, la souveraineté ne peut pas se représenter. Le peuple doit exercer sa souveraineté lui-même. elle est indivisible : Rousseau va remettre en cause la théorie des corps intermédiaires. Rousseau pense qu'on ne peut pas croire en un chef providentiel : le roi. [...]
[...] Cette loi a pour source la volonté générale. Elle s'exprime par une addition de voix. Il dit : «supposons que l'état soit composé de 10000 citoyens, chaque membre de l'état à pour sa part la 10/1000ème partie de l'autorité suprême». Pour Rousseau, pour reconstituer la volonté générale, il faut additionner toutes les voix. Mais il n'est pas nécessaire que la volonté générale soit unanime. Il est cependant nécessaire que toutes les voix soient comptées. Pour lui, la loi est la volonté du meilleur qui est la majorité. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture