Les rivières pourpres : analyse de l'intrigue. 4 pages
Le commissaire Pierre Niémans, l'ex-gloire de la police française, enquête sur une série de meurtres survenue à presque quelques heures de différence, dans une petite ville bien paisible. Tandis qu'à l'aube du même jour, au même décor et à 250km d'intervalle, Karim Abdouf, un flic ambitieux, au passé d'un criminel, doit percer le plus vite possible le mystère entourant la profanation de la tombe d'un petit garçon, mort voilà très longtemps. Les deux affaires n'ont donc pas de rapport apparent, mais elles ne révèlent leur point commun que bien plus tard, nous laissons ainsi découvrir un grand secret qui se cache au-dessous d'une ville réputée tranquille. Voilà le décor que nous plonge dedans Jean Christophe Grangé, un décor de glace, de verre et d'eau cristallisée, un décor de tortures, de mutilations et de grands secrets, enfin, un décor de vengeance amère, signée, un enfant mort il y a 14 ans?
[...] Déroulement de l'intrigue : L'intrigue dans le roman Les rivières pourpres est développée en alternance. En effet, Jean Christophe Grangé présente alternativement les péripéties concernant les deux policiers (par exemple, chapitre Niémans, chapitre Abdouf, chapitre 3 : Niémans, chapitre 4 : Abdouf, Grangé a utilisé cette méthode pour laisser un temps de réflexion au lecteur entre chaque deux chapitres concernant un personnage précis, et aussi pour laisser ce lecteur veillant et assoiffé de savoir la suite des événements, et au 38eme chapitre, les deux enquêtes ne font qu'une seule qui continue jusqu'à la fin du récit. [...]
[...] Commission scolaire de Montréal École Georges Vanier Foyer 511 Les rivières pourpres De l'auteur Jean Christophe Grangé Premier élément de l'analyse : L'intrigue Travail fait par : Travail remis a : Nahla Boumahni Mme. Erica Germain 2007-2008 Résumé de l'histoire : Le commissaire Pierre Niémans, l'ex-gloire de la police française, enquête sur une série de meurtres survenue à presque quelques heures de différence, dans une petite ville bien paisible. Tandis qu'à l'aube du même jour, au même décor et à 250km d'intervalle, Karim Abdouf, un flic ambitieux, au passé d'un criminel, doit percer le plus vite possible le mystère entourant la profanation de la tombe d'un petit garçon, mort voilà très longtemps. [...]
[...] Voilà ce qui voulait nous révéler Grangé en insérant cette séquence; que par leurs actes, les victimes ont engendré une vengeance qui leur a enlevé la vie, et il ne l'a tout simplement pas placée au début (la séquence), car elle aurait changé complètement le déroulement de l'intrigue, parce que les informations contenues dedans font partie du dénouement final. Séquence descriptive : Dévoilé seulement jusqu'aux épaules [ ] des fleuves gonflés (p27). Cette séquence est insérée pour décrire dans les moindres détails le corps et la position de la première victime. [...]
[...] Abdouf : Jeune maghrébin, d'un mètre quatre-vingt-cinq, mince comme un cric, portant le bouc, des nattes de rasta et une filée de boucles d'oreilles Karim Abdouf a grandi dans une des cités de France, ou il a côtoyé la délinquance et il en faisait même parti, après quoi, il décida qu'il allait devenir flic; il évoluerait dans le même univers occulte, mais à l'abri des lois qu'il méprisait (p66). Karim est un acharné, un policier ingénieux et l'idéal pour cette enquête. Séquences essentielles au déroulement de l'histoire : Séquence explicative : y a un dernier fait [ ] naissance a leur race supérieure» (p385). Cette séquence vient pour expliquer la raison qui aurait pu inciter le meurtrier à commettre les crimes. [...]
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