Tertullien a dit : « credo quia absurdum », je le crois parce que c'est absurde. Il veut dire par là que si les croyances n'étaient pas absurdes, on n'aurait pas besoin de les croire (opposition entre savoir et croire). Ainsi si on pouvait connaitre Dieu par la raison, on n'aurait plus besoin d'avoir foi en lui ; la foi est une confiance en plus, qui nous fait accepter quelque chose sans le comprendre.
- Athéisme : on ne croit pas en Dieu ;
- Agnosticisme : on ne peut avoir aucune connaissance d'un être spirituel (rejoint le scepticisme) ;
- Théisme : il existe des vérités accessibles par la raison (les mathématiques par exemple) et d'autres par le coeur (l'amour, le courage, etc.). Celles-ci existent mais on ne peut pas les démontrer. Dieu en fait partie. Ainsi aimer Dieu est irrationnel mais ça permet d'accéder à un autre type de vérité extérieure. Courant de pensée de Pascal ;
- Déisme : il se rapproche du théisme, sauf qu'il ne s'agit pas de l'existence de Dieu mais d'un dieu en général (...)
[...] Ainsi si on pouvait connaitre Dieu par la raison, on n'aurait plus besoin d'avoir foi en lui ; la foi est une confiance en plus, qui nous fait accepter quelque chose sans le comprendre. - Athéisme : on ne croit pas en Dieu ; - Agnosticisme : on ne peut avoir aucune connaissance d'un être spirituel (rejoint le scepticisme) ; - Théisme : il existe des vérités accessibles par la raison (les mathématiques par exemple) et d'autres par le cœur (l'amour, le courage, etc.). Celles-ci existent mais on ne peut pas les démontrer. Dieu en fait partie. [...]
[...] Il faut donc une révolution pour être libre. Critique politique de Bakounine : en tant qu'anarchiste, pour lui, toute autorité extérieure n'est pas bonne pour l'homme. Il doit être libre. Critique psychanalytique de Freud : Dieu opère le transfert de l'autorité. Le père représente l'autorité pour l'enfant mais quand il grandit, il y a un transfert d'autorité vers l'Etat, le roi ou Dieu (qui devient un père symbolique). Pour Freud, c'est une façon de ne pas grandir. Il faut sortir de la maison paternelle. [...]
[...] Critique philosophique de Nietzsche : il critique l'idée des institutions religieuses. Selon lui les religions judéo-chrétiennes vont à l'encontre de l'instinct de vie. Elles glorifient l'homme du ressentiment, accablé par les devoirs et la contrainte. Critique politique de Marx : la religion affirme que l'homme a pêché et est par conséquent punit ; la religion serait l'âme d'un monde sans âme, l'opium du peuple : elle rend dépendant et elle soulage la douleur en endormant l'individu. Elle permet à l'homme de supporter sa condition et l'empêche de se révolter. [...]
[...] La création d'un lien fort Selon Emile Durkheim (sociologue français), la religion est à la fois : - Un discours ; - Des rituels, des pratiques ; - Un calendrier, avec de grands moments religieux. La religion permet donc des moments de grande émotion, que ce soit de la joie ou de la douleur, qui soudent les gens ensemble. LE problème est que plus on est soudés, plus on a besoin d'un bouc émissaire, qui est légèrement différent des autres. La psychologie La religion permet de passer certaines étapes difficiles. Les rituels (mariage, communion, etc.) sont des étapes qui marquent l'entrée dans la vie adulte. [...]
[...] Elles reposent sur un dogme, une vérité incontestable, irrationnelle, subjective, non démontrée ; - Les religions naturelles sont des religions pensées par l'ordre naturel des choses : on suppose que Dieu existe comme cause naturelle de tout ce qui est. On opère un saut métaphysique : on part du principe qu'il existe toujours une cause pour chose donnée. À partir de là on remonte de cause en cause jusqu'à une cause initiale, un premier moteur comme dit Aristote. Les religions révélées sont un travail de la pensée, de la raison. [...]
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