- L'opposition profane/sacré montre que les hommes pensent, la plupart du temps, que la vrai signification des choses n'est pas dans la réalité du quotidien.
- Point commun entre toutes les religions : Quelque-chose d'invisible peut expliquer le visible. Le surnaturel peut se manifester.
La parole permet de dire ce qui n'est pas. Il existe une autre réalité qui n'est pas dans le visible.
- Nietzsche : "les arrières mondes".
- Même dans les religions penéïste (cf Spinoza) on retrouve quand même deux ordres. Distonction sacré/profane.
- La sacré nous est donné comme une révélation (car ce n'est pas accessible avec les sens et la raison de l'homme). Pour qu'il y ait communication entre profane/sacré il faut un intermédiaire (prètre, etc).
- En ce qui concerne les rites religieux et les prètres, il faut faire distinction avec magie.
[...] Pour qu'il y ait communication entre profane/sacré il faut un intermédiaire (prètre, etc). - En ce qui concerne les rites religieux et les prètres, il faut faire distinction avec magie. B - La religion ne se confond pas avec la magie - Magie = savoir faire, technique - on agit. - L'homme supersticieux c'est celui qui prétend dominer Dieu. Dans la notion de magie et de superstition il y a prétention de maîtriser. A l'inverse, la religion ne peut pas aliéner. Religion = Dieu au dessus. [...]
[...] C'est ce sens du sacré qui est commun à l'art et à la religion. Le recul des religions ne signifie pas la fin de toute spiritualité. (voir feuille : religion et spiritualité). Il y a plus de voyants et de voyantes que de médecins généralistes en France. Besoin de spiritualité. Un monde sans religion est-il possible? La croyance est-elle le refuge de l'ignorance? La foie exclu-t-elle tout recours à la raison? En quoi reconnait-on une attitude religieuse? Cc : voir fiche! [...]
[...] - La foi ne peut pas être confondue avec la religion. - Foi = conviction intime et personnelle qui est sencé maintenir un lien vertical (entre l'homme et Dieu). - Religion = fidélité collective, elle suppose une certaine communauté. Elle institue une communauté éthique. C'est un phénomène social. Elle se caractérise par certains actes. On l'a reconnait de l'extérieur. C'est un fait positif. La religion a souvent joué un rôle de ciment associatif. Mais c'est passé dans l'état moderne. C - Une institution, et une communauté éthique - La religion va lier un lien horizontal (les hommes entre eux). [...]
[...] (voir feuille résumé) B - L'aliénation religieuse - Critique surtout autour d'un pb : l'aliénation. cf. Feuerbach p.186 : "Ce n'est pas Dieu qui a fait l'homme à son image mais l'homme qui a fait Dieu à son image". Dieu est en fait la première image que l'homme fait de lui-même. L'homme n'a pas conscience que c'est une partie de ses qualités qu'il projette en Dieu. Selon Feuerbach, l'homme ne peut pas se réaliser, se construire, puisqu'il a projeté une partie de lui-même en Dieu. [...]
[...] Faire confiance au coeur et donc à la foi pour atteindre Dieur, c'est ce qui nous empèche de desespérer face aux contradictions. Pascal souligne la misère de l'homme sans Dieu. L'homme qui ne desespère pas, c'est celui qui fait confiance à son coeur, à Dieu. "Il faut parier, ce n'est pas volontaire, vous êtes embarqués". Selon Pascal, nous avons la faculté de sentir la présence de Dieu. C'est un pari qu'on ne peut pas prendre, alors autant vivre en toute confiance. - La séparation foi/raison est prônée aussi par les rationalistes. [...]
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