- Nécessité = ce qui ne peut pas ne pas être. Tout ce qui concerne la survie de l'être entre dans la nécessité.
- Contingent = ce qui peut ne pas être.
- Dans un premier temps, le désir parait contingent.
- Si le besoin et le désir nous apparaissent comme des manques, ils ne sont pourtant pas du même ordre. Ainsi le besoin semble définit, vital et peut être satisfait alors que le désir est une recherche éperdue, et ne semble jamais comblé. Les besoins seraient donc naturels et justifiés alors que les désirs seraient capricieux, vains, voire subtiles et superflus.
Selon l'épicurisme, le bonheur est le but de la sagesse et la source de ce bonheur est le plaisir. Mais cette quète ne doit pas donner libre cours à tous les désirs.
- Dans l'épicurisme, la philosophie est nécessaire/essentielle au bonheur. Pour Epicure, il faut désirer que ce que l'on peut obtenir.
[...] Pour Epicure, il faut désirer que ce que l'on peut obtenir. III - Le désir est l'essence de l'homme Selon Spinoza : - La volonté émane de l'âme seule, mais l'appétit de l'âme et du corps. Et en temps que cet appétit nous vienne de l'âme et du corps essence de l'homme). Le désir ne peut être un désir que si on a conscience de lui, sinon il n'est qu'un appétit. - Nous ne faisons pas une chose par-ce qu'elle est bonne, mais nous la trouvons bonne par-ce que nous la faisons. [...]
[...] IV - Le désir est le désir du désir Selon Rousseau : - Tant qu'on désir on peut se passer d'être heureux. Désir = bonheur. L'attente du bonheur semblerait équivalente au bonheur lui-même. Le bonheur, est-ce un état qu'il faut atteindre ou qu'il faut attendre? "On jouit moins de ce qu'on obtient que de ce qu'on espère et l'on est heureux qu'avant d'être heureux" -Rousseau. - Le désir est plus important que sa réalisation imagination! (magie, féérie . Sans désir : sentiment de vide. [...]
[...] - Dans un premier temps, le désir parait contingent. - Si le besoin et le désir nous apparaissent comme des manques, ils ne sont pourtant pas du même ordre. Ainsi le besoin semble définit, vital et peut être satisfait alors que le désir est une recherche éperdue, et ne semble jamais comblé. Les besoins seraient donc naturels et justifiés alors que les désirs seraient capricieux, vains, voire subtiles et superflus. Selon l'épicurisme, le bonheur est le but de la sagesse et la source de ce bonheur est le plaisir. [...]
[...] Voilà pourquoi le désir est utile. Il y a une idée de dépassement de soi dans le désir qui nous parait trés utile pour l'humanité entière. - Pour Descartes, le désir est maîtrisé. VI - Le désir = malédiction de l'homme et source de malheurs Selon Shopenhauer : Le désir en soi est source de souffrance, est à l'origine de tous les maux de l'homme vision pessimiste du désir. Le désir en soi est l'éternelle punition de l'homme (=inverse des épicuriens qui pensent que désir = bonheur). [...]
[...] - La psychanalyse pense que certaines passions (nobles et spirituelles) pour les connaissances, la création artistique, la vie religieuse, sont des sublimations, des différents stades sexuels et agressifs, des sublimations exceptionelles telles que chez Baudelaire, Edgar Poe, Dostoïewsky . Pour la psychanalyse, l'inconscient est bien la cause de nos passions futures. "Une passion cesse d'être une passion si l'on s'en fait une idée claire" - Sinoza. Pour Alquié : Sublimation = passage d'une passion affective à une passion spirituelle. Passer de la passivité passionelle à l'activité intellectuelle. "Rien ne s'est accompli dans le monde sans passion" - Hegel. [...]
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