autrui, autre, domination, amitié, humanité, sympathie, empathie
Autrui désigne la réalité constitué par un sujet différent de moi : Je ne suis pas le seul présent dans ce monde : Je ne peux pas en être le centre même si l'on a spontanément le sentiment d'être le seul sujet au monde parce qu'il y a qu'avec notre conscience que l'on est en relation direct.
Autrui est donc cette altérité : ce quelque chose qui n'est pas moi tout en étant semblable à moi puisque nous sommes tous deux des sujets. Il est à la fois présent et embarrassant ou rassurant et angoissant.
Autrui est donc inséparable de ma propre existence alors que l'on doit être pleinement soi-même : c'est avec l'autre que je suis moi-même en trouvant un équilibre entre lui et moi.
[...] C'est ce qu'il fait aux enfants autistes. Cette capacité d'empathie dépend des sujets et c'est au sujet de savoir utiliser ses capacités d'empathie. Les relations à autrui sont du ressort du sujet lui-même dans la liberté qui est la sienne, étant entendu qu'il s'est lui-même construit à travers les relations à autrui. Ces relations sont de qualités différentes, car elles correspondent aux différents aspects d'une vie humaine. La domination peut-être socialement établit, mais elle n'implique pas que toutes relations soient de domination. [...]
[...] Autrui est donc inséparable de ma propre existence alors que l'on doit être pleinement soi-même = c'est avec l'autre que je suis moi-même en trouvant un équilibre entre lui et moi. La présence de l'autre conscience. Une donnée brute. Le fait est que l'autre conscience est présente d'emblée = pas de moment sans autrui autre conscience est à l'origine de ma propre existence en effet, personne ne peut prétendre s'être fait tout seul que ce soit par sa naissance ou son business. [...]
[...] 3e attitude : La sympathie qui consiste à éprouver ce que l'autre éprouve. Dans ex du deuil c'est prendre une partie de la souffrance de l'autre pour que lui en soit soulagé = se mettre à la place de l'autre puisqu'on prend en charge sa souffrance ce qui n'est pas possible si on accepte pas de le faire par générosité & ouverture. LA NOTION D'EMPATHIE : L'empathie consiste à se rapprocher de l'autre en considérant que son attitude à un sens même si pour nous, elle nous paraît absurde consiste à chercher comprendre au lieu de juger. [...]
[...] LA FUSION : être capable de nouer des relations c'est accepter la séparation entre soi et autrui. Si elle existe, elle est de l'ordre du fantasme et reste dangereuse. Être un sujet c'est accepter la présence de l'autre conscience comme constitutive de soi quand on est enfant et occasion de s'enrichir lorsqu'on est adulte sujet se définit par une capacité a nouer des relations avec autrui pleinement assumées. La question de la domination. La thèse du philosophe français JEAN-PAUL SARTRE : On peut voir dans la relation à autrui une recherche de domination en considérant que pour être soi il faut d'abord dominer l'autre conscience. [...]
[...] 3e attitude : La mauvaise foi = recherche d'une reconnaissance n'utilisant pas la violence ou la séduction. SARTRE considère que la relation à autrui dans le rapport de domination se joue dans la question du regard qui est pour lui ce qui fait la relation à autrui. Il faut alors comprendre pourquoi plusieurs éléments font du regard l'essentiel de la relation : 1er élément : Le regard d'autrui est le miroir dans lequel je constate mon existence, je sais que j'existe, car l'autre réagi à ma présence. Il va de soi qu'il y a réciprocité. [...]
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