Politique et morale, Hobbes, Rousseau, Churchill, Sartre, Kant, libéralisme, républicanisme, règles, lois, valeurs, volonté morale, vie en société, démocratie
La morale est l'ensemble des règles relatives à la vie bonne, notamment à la distinction du bien et du mal. La politique désigne ici une pratique, voire un métier : la quête du pouvoir, la manière de l'exercer.
L'action morale est celle où on obéit à soi-même (quoi qu'on fasse on obéit toujours à quelque chose).
La politique est l'instrument qui permet d'agir sur la société.
L'Homme n'a pas le pouvoir de créer la société, mais seulement de la recréer : société naturelle, mais l'Homme à sans cesse le pouvoir de la transformer. Toute société est un système contraint et contraignant.
[...] Pour Socrate, dès qu'on réfléchit sur la morale, on s'interroge sur l'âme. Il vaut mieux subir une injustice que la commettre. Le devoir est le sentiment d'obligation qui nous demande d'obéir à notre propre conscience La volonté morale concerne le comportement individuel La volonté politique concerne le comportement collectif Parier sur la force de la morale est insuffisante, il y a une rupture entre la conscience de chaque individu. Texte : Bergson sur la vie en société comparée à chez les animaux L'Homme n'est pas un mammifère doux et pacifique Les animaux ne se posent pas de questions, ils agissent naturellement. [...]
[...] La politique désigne ici une pratique, voire un métier : la quête du pouvoir et la manière de l'exercer. L'action morale est celle où on obéit à soi-même (quoi qu'on fasse on obéit toujours à quelque chose) La politique est l'instrument qui permet d'agir sur la société. L'Homme n'a pas le pouvoir de créer la société, mais seulement de la recréer : société naturelle, mais l'Homme a sans cesse le pouvoir de la transformer. Toute société est un système contraint et contraignant. [...]
[...] L'Homme est sans doute un individu volontaire et rationnel. Il est bon (son cœur est pur), c'est la société qui le corrompt (thèse de Rousseau) « Nul n'est méchant volontairement » Socrate : on peut se tromper sur ce qu'on appelle le bien Thèse de Kant : il existe un penchant naturel pour le mal, nous sommes mauvais quand nous faisons passer nos intérêts égoïstes avant la loi morale universelle. Ce mal est si implanté en nous qu'il semble naturel. [...]
[...] Liberté civile et morale : elle émane des lois et de conscience individuelle. Les élections sont basées sur l'égalité des électeurs, mais produisent une inégalité politique. Chaque société à ses propres valeurs, la première expérience qu'on a de la morale est celle du groupe auquel on appartient. Et la morale sociale change selon les périodes. Il peut y avoir un décalage entre loi et morale. Ex : au divorce légal, mais mal vu. Pour Hobbes, la politique doit primer sur la morale (puissance, paix, sécurité). [...]
[...] Les passions humaines Orgueil, colère, peur, haine. Permises : altruisme, amour, pitié. Défendues : luxure, haine, mépris, jalousie. Toutes les passions sont bonnes, pourvu qu'on en évite le mauvais usage et l'excès. Pour Spinoza, elles sont un trouble de l'intelligence. Pour être courageux, il faut d'abord avoir peur. Si l'Homme n'était pas mauvais, il n'aurait pas à être altruiste. La jalousie est une grosse déception qui peut amener à faire du mal. Conséquence : la guerre de tous contre tous. [...]
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