Passions, nature humaine, Hobbes, Descartes, Spinoza, Leviathan, rivalité, crainte, orgueil, Nietzsche, Hegel, philosophie
Lorsqu'on parle du monde des passions, il faut peut-être comprendre que c'est des valeurs à déchiffrer et non de les emprisonner. Mieux les comprendre, c'est mieux les maitriser.
Mouvement de désaxiologisation des passions : fait de sortir les passions d'un jugement de valeur. On enlève dans les passions le coté des vices.
« Abandonner la course, c'est mourir » : Th. Hobbes -> 17ème siècle.
-Volonté -Persévérance
Ce sont les passions qui instaurent une dynamique dans notre vie : elles vont être à l'origine de nos volontés. Elles sont avec nous jusqu'à la mort.
[...] Chapitre III : de la nécessité à la sublimation des passions Lorsqu'on parle du monde des passions, il faut peut-être comprendre que c'est des valeurs à déchiffrer et non de les emprisonner. Mieux les comprendre, c'est mieux les maitriser. Mouvement de désaxiologisation des passions : fait de sortir les passions d'un jugement de valeur. On enlève dans les passions le coté des vis. Abandonner la course, c'est mourir : Th. Hobbes-> 17ème siècle. -Volonté -Persévérance Ce sont les passions qui instaurent une dynamique dans notre vie : elles vont être à l'origine de nos volontés. [...]
[...] Au lieu de se vautrer dans la bêtise de la passion, il faut sublimer les passions. (Balzac, Le Lys dans la vallée) On s'aperçoit qu'à partir de Hegel Nietzsche on ne juge plus les passions en fonction de leur conformité à un absolue (religion, bien platonicien) ce qui les condamnaient d'avance, mais on choisit de les confronter à la richesse des situations humaines en essayant de les rendre utiles, efficace. Car il n'y a aucune raison psychique qu'elles ne servent à rien Thèse de Hume : notre rapport au monde est essentiellement passionnel. [...]
[...] Ce qui est naturel, c'est la source des passions ; l'amour de soi. : Conséquence : pitié : un enfant est enclin à la bienveillance. De l'amour de soi découle la pitié. : Pervertir en amour propre au contact de la société. Pour Hobbes : la vie de société est bénéfique progression entre état de nature. Pour Rousseau : entre l'état de nature et société, il y a une dégradation : l'amour de soi n'est plus aussi présente et est remplacé par l'amour propre (on veut que les autres nous aiment plus que nous-même). [...]
[...] Le point de vue des rationalistes : Les passions dans le rationalisme de Descartes. Texte 3 : 1649 Les passions sont toutes bénéfiques à condition d'être contrôlé. Il s'oppose à toutes les théories qui disent que les passions entrainent un déséquilibre et qu'il faut les éradiquer de l'âme. Ce que Descartes apporte comme nouvelle connaissance est que les passions viennent d'abord du corps : origine corporelle spontanée qui est une réponse à une situation. Toutes passions passent d'abord par le corps. [...]
[...] : + Egalité d'esprit. : Conséquence : on arrive à une égalité d'espoir qui se traduit par une rivalité : on devient ennemi par rapport à l'autre. + Crainte d'être dépossédé. : Conséquence : Il faut augmenter sa puissance en essayant de se rendre maitre des autres. On cherche à être le plus puissant afin de ne plus avoir d'ennemis au même niveau que nous. : + de cet état de compétition permanente résulte l'orgueil. Les trois passions : rivalité, crainte, orgueil. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture