Nations, conflits, mondialisation. Fiche de culture générale issue des notes de l'ouvrage de Emmanuelle Huismans-Perrin. 3 pages
Evidence du fait national : par ex., lors des présidentielles de 2000, mise à l'écart du candidat Alassane Ouattara au nom de l''ivoirité'. Allégeance politique suprême : droits et devoirs, citoyenneté.
[...] Mais c'est plus que de la violence : organisation de cette violence. La guerre est-elle justifiable ? Distinction “prendre l'épée”/”faire la guerre” : violence organisée, socialisée, qui connaît certaines règles cad une violence sociale. Humain et socialisé, car caractère aussi sacré de la guerre. affaire des humains, lieu où se jouent les valeurs d'une société Les nations “civilisées” sont celles qui sont capables de mener des guerres impitoyables et immenses (Alain). Légitime question du = forme de rapport à l'humanité. [...]
[...] Naissance des Etats naissance d'un rapport de droit entre les nations. La persistance des déséquilibres Pas de “société internationale” équilibrée car déséquilibres militaires, économiques, culturels, identitaires . d'autant plus avec l'arme nucléaire. Vers un retour de l'état en guerre ? Réalisme américain : puissance et affirmation agressive de leur suprématie militaire, mais opposition de l'opinion publique. “Choc des civilisations”? (Huntington) Un monde en gestation ? L'intégration progressive des Etats Concurrents : org° internat., ensembles éco, po, stratégiques, mais aussi aires de civilisation, culturelles et religieuses. Qu'est-ce que la mondialisation ? [...]
[...] La nation, un fait ou une idée ? Ne peut s'imposer comme un fait, car différences des usages, des particularismes, des traditions. La nation est donc une idée relative historiquement : traditionnallement, corps politiques pas nationaux (Grèce et Rome antiques). Qu'est-ce que l'Etat-nation ? Construction historique unificatrice, notamment avec la RF. Les origines de la nation A quoi sert le sentiment d'appartenance nationale ? Définition par des conditions objectives (nationalité, devoirs) et une appartenance intime appelée l'identité. Renvoie aux émotions : attachement, avec 2 versants, qui sont liaison entre les citoyens pour permettre cohésion et mobilisation, et passion nationale. [...]
[...] Contradiction : étranger nécessaire économiquement et socialement, mais exclu politiquement. D'autant plus difficile quand le marché du travail requiert une immigration moindre (fermeture des frontières, retour des étrangers). Accueil et intégration au centre de la nation : travail progressif d'unification. L'Etat-nation dans le monde L'Etat, centre des relations entre nations Conflits et sécurités La montée de la puissance d'Etat Dès traité de Westphalie, domination du modèle-Etat en RI. La souveraineté, fondement de l'ordre international Etat de nature : pas d'instance supérieure pour régler les rapports sociaux, donc conflit toujours possible. [...]
[...] Prob, car occidentalisation de l'ordre international. Question de l'aide humanitaire :émotion, idée que chaque homme en vaut un autre, morale qui nécessite “devoir d'ingérence” (Mitterrand). L'humanitaire est-il une forme de solidarité à l'échelle de l'humanité ? Assistance : programmes de développement car imposition du sentiment de solidarité sur la scène internationale. Apparition d'une “nouvelle norme du droit international” : accéder au victimes. Ambivalence ingérence démocratique/politique. Conclusion Conscience nouvelle des liens entre les hommes : droit, solidarité, aide économique. Celle-i pose problème : est-ce une tutelle? [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture