Marguerite Duras, oeuvres de Marguerite Duras, Moderato Cantabile, Indochine française, un barrage contre le Pacifique
Une enfance indochinoise:
Née en Indochine française (l'actuel Vietnam), Marguerite Duras y passe toute sa jeunesse dans une famille assez modeste. À l'âge de quatre ans, elle perd son père. Sa mère institutrice, complète ses revenus en jouant du piano dans un cinéma. Elle est très proche du peuple vietnamien, dont elle parle la langue.
La famille (Marguerite a deux frères) s'installe au Cambodge pour exploiter une terre qui s'avère inondable. Marguerite Duras tirera de cette mésaventure un récit : Un barrage contre le Pacifique.
[...] Elle est très proche du peuple vietnamien, dont elle parle la langue. La famille (Marguerite a deux frères) s'installe au Cambodge pour exploiter une terre qui s'avère inondable. Marguerite Duras tirera de cette mésaventure un récit : Un barrage contre le Pacifique. Une jeunesse parisienne À dix-huit ans, elle entame, à Paris, des études de droit, de mathématiques et de sciences politiques et sera membre, quelque temps, du Parti Communiste Français. De la littérature au cinéma Sa vie, à partir de 1942, se confond avec la littérature. [...]
[...] En 1984, elle remporte le Prix Concourt avec l'Amant. Une manière personnelle Marguerite Duras compose pour le cinéma et le théâtre en même temps qu'elle écrit des pages destinées à la lecture. Des journées entières sous les arbres, sa pièce la plus célèbre est un texte qui se suffit à lui- même. II-OEuvres de Marguerite Duras 1950 Un barrage contre le pacifique 1954 Des journées entières sous les arbres 1958 Moderato Cantabile 1959 Hiroshima, mon amour 1984 l'Amant III-MODERATO CANTABILE L'esthétique de cette oeuvre est proche de celle du Nouveau Roman (dont Marguerite Duras ne s'est jamais réclamée). [...]
[...] Moderato cantabile, désigne le mouvement d'une sonate que joue le fils d'Anne Desbaresdes pendant sa leçon de piano. Un jour, pendant la leçon, on entend un cri en bas de l'immeuble : une femme vient d'être tuée, dans un café, par son amant. Anne, fascinée, voit le criminel embrasser la morte. Pendant une semaine, elle revient dans le café, parle avec un homme de sa connaissance du crime, de sa propre maison, rêve avec lui d'un amour entre eux qui se résumera en un baiser. [...]
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