littérature, 18ème siècle, fiction, auteurs sociologues, romans de moeurs
La littérature du 18ème siècle a un caractère différent de celle qui la précède. La plupart des auteurs du 17ème siècle sont plutôt moralistes et se préoccupent de l'individu. Les auteurs du 18ème siècle sont plutôt sociologues. Ils ont quitté la poésie, qui est adressée à une certaine classe, pour écrire en prose, dans le but de mettre leurs œuvres entre les mains de tout le monde.
Ils préfèrent simplifier leurs écritures et utiliser des phrases courtes; les auteurs du 18ème siècle sont des auteurs de fictions.
[...] Comme je l'ai dit au début, il y a au 18eme siècle le besoin de prendre les causes sociales en main, d'éduquer les gens a mieux se comporter l'un envers l'autre, de dénoncer l'inhumanité de l'homme envers l'homme. Ces trois auteurs ont montré la souffrance de celui ou celle qui est victime des règles arbitraires de la société ce que le 17eme siècle ne faisait pas, et que le 19eme siècle ne touchera pas non plus. Ces trois romans sont donc bien du 18eme siècle. [...]
[...] Le voyage malheureux termine avec la mort de Manon. Ce point tragique de l'histoire porte le Chevalier a retourné en France. Ce qui fait de ce roman une œuvre du 18eme siècle est non seulement sa critique sociale, mais aussi que c'est un roman qui a lieu en pays étranger. Le 18eme siècle est connu comme siècle cosmopolite ou les gens voyagent beaucoup. Le dernier texte est une pièce de théâtre, L'Ile des Esclaves. Ce texte est celui qui est le plus représentatif des idées du 18eme siècle. [...]
[...] Les auteurs du 18 siècle sont plutôt sociologues. Ils ont quitté la poésie, qui est adressée à une certaine classe, pour écrire en prose, dans le but de mettre leurs œuvres entre les mains de tout le monde. Ils préfèrent simplifier leurs écritures et utiliser des phrases courtes ; les auteurs du 18eme siècle sont des auteurs de fictions. Ils cherchaient à inscrire leurs œuvres dans la réalité contemporaine. Ils mettaient en scène des personnages d'une classe populaire ou moyenne et dans leurs œuvres, ils ont évoqué la vie quotidienne. [...]
[...] Le second roman Manon Lescaut est une histoire d'amour entre un aristocrate et une prostituée. Ils sont amoureux l'un de l'autre, mais les raisons de la société les empêchent d'être ensembles. Pire, le Chevalier Des Grieux n'a pas beaucoup d'argent et Manon aime la belle vie. Sans argent, elle devient infidèle à son chevalier et cherche son bien être ailleurs. Malgré que Des Grieux soit bien au courant du genre de femme à qui il a affaire, il continue de vouloir être avec elle, en dépit de tous conseils. [...]
[...] Mais il raconte ses aventures dans des termes trop élogieux de sorte qu'on ne le croit pas. Il souffre aux mains de ses compagnons de fortune, se retrouve dans des instants très difficiles où il doit faire ses preuves mais ne fait que tomber plus profondément dans des problèmes. Il est le prototype du pauvre homme de classe moyenne qui lutte tous les jours pour s'élever dans la société mais retombe plus bas que la ou il a commencé a cause des interdictions, des restrictions et des barrières sociales. [...]
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