Liberté, liberté ? C'est une notion qui regroupe nombre de concepts et qui divise les théoriciens. Il serait prétentieux de vouloir la définir en quelques lignes dans cette introduction, c'est pour cela que nous l'étudierons et réfléchirons à cette notion dans une partie de notre réflexion qui suit. Car il faut bien savoir ce qu'est la liberté avant de réfléchir à son renoncement (...)
[...] L'homme étant libre, nous allons maintenant nous intéresser à la perte de cette liberté. Nous avions vu que le fait d'aimer passionnément quelqu'un nous faisait perdre notre liberté car nous n'étions plus capable de s'imaginer, de rêver sans cette contraintes, bien qu'agréable, de l'être aimé. Cette passion nous retire notre liberté car nous ne sommes plus en situation de liberté intellectuel, notre esprit est orienté, influencer par l'amour. Toute la difficulté de ce propos réside dans le fait de bien concevoir que l'amour est une contrainte. [...]
[...] Philosophie Sujet : Peut-on renoncer à sa liberté ? Liberté, liberté ? C'est une notion qui regroupe nombre de concepts et qui divise les théoriciens. Il serait prétentieux de vouloir la définir en quelques lignes dans cette introduction, c'est pour cela que nous l'étudierons et réfléchirons à cette notion dans une partie de notre réflexion qui suit. Car il faut bien savoir ce qu'est la liberté avant de réfléchir à son renoncement. L'Homme est-il donc un être libre ? , en opposition à l'animal qui n'est qu'une machine ingénieuse comme disait Rousseau .Si il y a liberté est-il possible d'y renoncer ? [...]
[...] il nous faudra synthétiser ce fait. Nous venons donc de voir que nous ne sommes pas finalement des êtres totalement libres car soumis à nombres de contraintes. De plus nous avions conclut que l'on pouvait perdre sa liberté par amour, mais au prix de nombreuses souffrances dues à ce matérialisme de l'amour Enfin nous avons nuancé la légitimité de la perte de sa liberté dans le cadre de la société dans la mesure où celle-ci nous fait passer d'homme animalisé à citoyen. [...]
[...] Nous finissons donc notre réponse au problème du renoncement à la liberté par la légitimité d'un tel acte. Nous vivions dans une société dont le bon fonctionnement repose sur les respects de règles, règles qui de ce fait nous font perdre notre liberté totale. Nous ne pouvons pas faire ce que l'on veut. Mais nous avons également vu que nous n'étions pas des êtres totalement libres, mais soumis à des contraintes physiques que l'on peut surmonter par l'esprit. De ce fait l'homme peut renoncer à certaines de ces libertés et devenir citoyen sans pour autant devenir un élément d'une machine qu'il ne pourrait contrôler. [...]
[...] La question serait alors de nous demander si pour perdre sa liberté il faut en avoir une ou simplement croire en avoir une. Le fait est que nous ne sommes pas libres dans le sens ou nous sommes soumis à nombre de contraintes. Toutefois certaines peuvent être voulues, dans le cas de l'amour, comme nous l'avons vu. Nous avons effectivement étudié le cas de la perte de liberté volontaire par le biais de l'amour. Toutefois ceci pose de nombreuses questions dont le fait qu'il serait alors positif de perdre sa liberté puisqu'on en gagnerait l'amour. [...]
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