Ce document est une fiche de révision complète sur le chapitre "Langage et vérité" en philosophie. Cette fiche regroupe tous les grands principes, auteurs/philosophes, et schémas indispensables pour comprendre et réviser au mieux ce chapitre. J'espère qu'elle vous aidera dans vos révisions ;)
[...] Le relativisme de Protagoras Pour lui le langage est comme une ascension à la vérité. « L'homme est la mesure de toute choses, de celles qui existent et de leur nature ; de celles qui ne sont pas et de l'explication de leur non-existence ». La philosophie ou la visée de la vérité : du dialogue socratique à la logique aristolicienne. Le dialogue de Socrate L'opposition sophistique apparaît à travers l'institution d'un dialogue. A cette fin il faut donc distinguer « disputer » et « discuter ». [...]
[...] Cela a définit deux grands courants de sophistique : Les sophistes : vanité ontologique et pouvoir persuasif du discours Le nihilisme de Gorgias Gorgias possède sa version sur la vérité des mots, pour lui les mots ont la vérité qu'on leurs donnent. Selon lui le mot est une entité or les choses changent selon le temps, les périodes ect . donc le mot ne rend pas la réalité des choses. De là découle ses 3 visions et son nihilisme : Rien n'est = car rien n'est stable, tout bouge Si quelque chose est, on ne peut le dire = le mot ne sera jamais la chose Si on peut le dire, on ne peut le communiquer. [...]
[...] Chaque langue possède des termes et des tournures idiomatiques. L'homme est un extraordinaire inventeur de langage. Non seulement il invente, mais il sait le faire évoluer, l'enrichir, le simplifie et le clarifier. Il faut nommer les choses et avoir un langage pour premièrement organiser nos pensé (être en bonne intelligence avec soi) mais aussi pour communiquer avec autrui. Il faut en effet s'accorder et pouvoir appeler « un chat » un chat. Si on ne sait pas nommer les choses et que l'on n'a pas un langage commun tout est faussé entre nous, parce que tout est faussé entre les choses et nous. [...]
[...] Par exemple : Un astronome, comprend le mot « soleil » en fonction de tout ce que la science lui a appris de cet astre, alors que le commun des hommes ne l'ayant pas étudié en détail, n'en a qu'une image. Image qui peut être faussé par des croyances religieuses ou autre. Notre langage est de ce fait voué à une connaissance toujours plus parfaite de la réalité. Cependant cela ne nous interdit pas de faire évoluer et progresser nos conceptions. Nous détacher de nos images (peut-être fausse). En tant qu'humain nous devons pouvoir confronter les images que nous faisons du langage. [...]
[...] La logique aristolicienne De manière plus logique et stricte, lorsque nous prenons un mot ce dernier possède une signification conventionnelle. Par exemple le mot « homme » signifie bien quelque chose. Mais les syllabes prisent séparément elles ne veulent rien dire, il s'agit simplement d'un son. C'est seulement dans les mots composés que les syllabes sont significatives. Selon Aristote, tout mot a une signification par convention. D'autre part, Aristote appuie sur la logique des mots et fonde la théorie de la signification. [...]
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