Iliade, Chant I, Invocation, Achille, Agamemnon
C'est la colère d'Achille (fils de Pélée) qui va être narrée ; colère qui provoquera d'innombrables malheurs et qui jeta dans l'Hadès maintes âmes de héro, dévorés par des chiens et des oiseaux ; réalisant la volonté de Zeus (la volonté de Zeus est un thème à étudier – notamment relevé par Robert Flacelière, traducteur de l'Iliade dans l'édition Pléiade)
Mais que cette déesse invoquée raconte d'abord, au chant I, la querelle entre les deux preux Achille et Agamemnon l'Atride.
[...] Après ça, Achille invoque sa mère, Thétis ; il est en pleure. Il lui demande d'aller implorer Zeus (autrefois elle a su réjouir son cœur en allant trouver Egéon-Briarée, le géant aux cent bras, fils de Posidon, dont la puissance est supérieure à celle de son père, alors que tous les olympiens voulaient enchainer Zeus. Cet Egéon par sa présence qui effraye tous les dieux les fit renoncer aux chaines.) pour qu'il apporte secours aux Troyens. Elle accepte. Restitution de Chryséis Ulysse arrive à Chrysè et à Chrysès sa fille. [...]
[...] 1er dialogue entre Chrysès et Agamemnon : Sur un sceptre d'or, de l'Archer Apollon, Chrysès vient prier les fils d'Atrée (Agamemnon et son frère, Ménelas) afin de racheter sa fille contre le prix d'un grand trésor piller la ville de Priam de Troie-, puis de rentrer sains et saufs ! Alors les Argiens (les Grecs) approuvent le deal, mais Agamemnon refuse. Agamemnon : le menace de faire attention s'il revient les voir en n'étant protégé par le sceptre et la bandelette d'Apollon. Il ne veut pas lui rendre sa fille, ou alors pas avant qu'elle ait vieilli, à ses côtés bien évidemment ! [...]
[...] Agamemnon alors se moque de lui et le menace, si Apollon venait à lui enlever Chryséis, de venir lui prendre Briséis en compensation. Achille est en colère mais Athéna, envoyée par Héra (Héra qui vieille sur lui et sur Agamemno), vient le voir et lui dit de calmer sa colère et de ne répondre que par les mots. (Chefs Danaens : Ajax, Idoménée, Ulysse, Achille) Après ça, Nestor entre en scène pour calmer le jeu : les Troyens seraient en grande joie de savoir ces chefs Danaens déchirés ; il conseil à Agamemnon de ne pas prendre Briséis à Achille etc. [...]
[...] Ce qui fit Apollon pendant neuf jours. Au dixième, Héra, la déesse aux bras blancs prise de pitié de voir les Grecs mourir les uns après les autres, remet au cœur d'Achille une pensée. Après cela, Achille rassemble les preux et soumet à l'Atride (Agamemnon) de fuir la peste, de retourner sur leurs pas et d'interroger les devins et les prêtres pour comprendre ce qu'Apollon leur reproche. Calchas (fils de Thestor) prend la parole, devin supérieur à tous les autres : avant d'annoncer ses oracles il s'assure qu'Achille lui garantira son salut contre la colère et la rancœur d'Agamemnon, qu'il craint d'offenser. [...]
[...] Dans l'Olympe Zeus et les dieux reviennent sur l'Olympe alors qu'ils étaient partis festoyer avec les parfaits éthiopiens Thétis alors gravit l'immensité du ciel et monte vers l'Olympe Elle l'implore d'accorder la victoire aux Troyens, lui rappelant vaguement ce qu'elle a fait pour lui, tant qu'Achille n'aura pas obtenu des Achéens plus grand honneur, plus grande gloire Zeus accepte. Héra vient le voir pour essayer de savoir ce qu'avec Thétis il a comploté mais il ne lui dit rien. Héphaestos (fils d'Héra) vient la consoler. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture