Héritage phénoménologique, Merleau-Ponty, Recherches Logiques, Husserl, psychanalyse, Freud, science des phénomènes, phénoménologie
La phénoménologie commence en 1900, avec les Recherches Logiques de Husserl. En même temps naît la psychanalyse avec Freud (l'interprétation des rêves).
La réduction phénoménologique > neutralise notre croyance en l'existence du monde, il ne faut plus adhérer à l'attitude naturelle. On est gagnant, car le monde continue à nous apparaître. Ce monde est là, mais il est affecté d'un coefficient supérieur de subjectivité > c'est un monde dans le comment de sa visée subjective, dans son phénomène de monde.
[...] La philo pointe le contingence du subjectif. Cf Le visible et l'invisible. MP s'étonne qu'avec le langage, on puisse croire que l'on voit et que l'on pense la même chose. Derrière ses apparences objectives, le langage ne garantit rien du monde. Chapitre sur l'espace dans la Phéno de la perception > MP compare le cogito du philosophe avec celui du fou, du primitif et du rêveur. Le philosophe met à jour un cogito sauvage cad un mouvement infatigable qui nous jette au mde ss garantie de le trouver. [...]
[...] La phénoménologie est la science des phénomènes cad la sce du monde pr ns, tel que nous le vivons. Retour à la conscience de à l'expérience de Rappelle Descartes car il y a un résidu indubitable de l'expérience = l'expérience elle-même, cad le vécu subjectif qui est le fondement nécessaire de toute expérience. Husserl retravaille le cogito cartésien en en faisant un fondement absolu pr repenser le savoir. La subjectivité est un fondement transcendantal, universel et nécessaire pour le savoir. [...]
[...] Pr MP, il suffit de regarder le peintre au travail pr que la réduction s'opère. Il est clair que le peintre ne sait pas où il va cad qu'il ne présuppose pas le monde la peinture suspend ce monde déjà là > il ne sait pas où il va ni ce que ça va donner. il fait ce tableau qui n'existe pas encore Paradoxe : comment parler de ce tableau si le peintre ignore le résultat final ? En fait, il s'agit bien de ce tableau, et non d'un autre, car le peintre sait où il va tout en improvisant > son errance est orchestrée et réglée. [...]
[...] Retour à une fragilité > MP est un philosophe de la perception. Le corps = moi naturel de la perception Repensée depuis le corps, la perception est un mouvement sans garantie. Rien ne garantit que le monde soit le même pour ts. Il faut refaire le monde en chaque nouvelle perception p54 Phéno de la perception je m'aperçois que chaque perception, et nn pas seulement celle des spectacles que je découvre pr la première fois, recommence pour son compte la naissance de l'intelligence et a qq chose d'une invention géniale ; pour que je reconnaisse l'arbre comme arbre, il faut que, par dessous cette signification acquise, l'arrangement momentané du spectacle sensible recommence, comme au premier jour du monde végétal, à dessiner l'idée individuelle de cet arbre Tout est à recréer à chaque instant. [...]
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