Que gagnons nous a travailler? - publié le 07/04/2011

Thèmes abordés

Le travail est indiscociable de l'homme. Gains positifs et négatifs du travail sur l'homme. Travail. Que gagne l'homme a travailler.

Résumé du document

L'homme travail aujourd'hui principallement pour subvenir a ses besoin de maniere lucratif surtout dans la societé de consommation dans laquelle nous vivons. Il est important pour l'homme de travailler pour se réaliser. Aujourd'hui ne pas travailler donne une mauvaise image de sois même. pourtant cela n'a pas toujours été le cas. Il est alors intérressant de se demander ce que gagne l'homme a travailler?

Extraits

[...] Des théories de Freud, on note que l'homme refoule ses pulsions sexuelles, ses pulsions agressives, ses pulsions de mort en reportant ces énergies dans le travail. Ce refoulement et cette transition dans le travail permet à l'homme d'être sociable. Départ la création d'œuvres, l'homme s'humanise. En effet l'homme crée une œuvre dans laquelle il se perçoit. Elle reflète ce qu'il est. Cette œuvre lui est propre, elle est unique et permet de « laisser une trace » dans son existence. [...]

[...] A travers le temps, la vision que l'homme a du travail s'est vue évoluer. Au moyen-âge, le travail était une tache de nécessité, reflétant la classe sociale, une tache mal vue puisque les nobles ne travaillaient pas. Aujourd'hui, celui qui ne travaille pas est considéré comme fenian ou peu ambitieux. Evidemment dans notre société le travail apporte une rémunération : de l'argent nécessaire pour la société de consommation dans laquelle nous vivons. Mais le travail n'a pourtant pas qu'un but lucratif. [...]

[...] Ce n'est plus la nature qui lui procure mais c'est a l'homme de se procurer. C'est une punition pour se racheter après de Dieu et regagner son pardon et sa place au paradis. Alors pour s'adapter l'homme transforme ce qui l'entoure pour en tirer ce dont il a besoin. Le travail permet à l'homme de transformer la nature. L'homme fabrique des outils pour améliorer son environnement, son mode de vie. L'homme s'oblige a travailler, que ce soit un travail intellectuel comme la philosophie, ou un travail physique : le travail de la terre. [...]

[...] Mais à qui profite tout cela. Le travail reste indissociable de l'homme. Pour se parfaire, s'humaniser et s'élever l'homme travaille. Mais le travail comme contrainte, le travail aliéné déshumanise l'homme qui s'y sent mal à l'aise et se mortifie. L'homme reste sur Terre un animal, cependant, le travail est différencié de celui de l'animal comme les abeilles. Mais le travail est il alors la seule chose a différencier l'homme de l'animal sauvage ? Et sans le travail l'homme serait—il plus accompli, plus heureux ? [...]

[...] Il n'est pas de lui ; l'homme ne s'y retrouve aucunement. Il le fabrique de façon passive sans s'en soucier réellement. Sans l'obligation et la contrainte, l'homme n'irait pas travailler. Il y a une sorte d'obligation physique qui ne le rend pas libre et il s'oblige donc à travailler. Le temps du travail rend l'homme malheureux. Il ne s'y complait pas. Il mortifie son corps et abrutis son esprit. Trop fatigué, le travail épuise son énergie qu'il n'emplois pas autrement. [...]