Révision, bac, culture générale, culture, travail, langage, raison, réel, vérité, politique, morale, société, échanges, justice, droit, état, liberté
La société est fondée sur le partage du travail entre différentes membres
Etymologie : du latin "tripalium", instrument de torture
Opinion commune : malédiction pénible; activité laborieuse pour arriver à ses besoins
Exemple : Dieu condamne Adam par le travail, châtiment du péché originel
Travail : activité permettant de s'insérer dans la société et d'échanger par un réseau d'interdépendance généralisé et ainsi se crée des interactions sociales
[...] THEME 1 : LA CULTURE FICHE 1 : LE TRAVAIL Définitions Société fondée sur le partage du travail entre différentes membres Etymologie : du latin « tripalium », instrument de torture Opinion commune : malédiction pénible ; activité laborieuse pour arriver à ses besoins Exemple : Dieu condamne Adam par le travail, châtiment du péché originel Travail : activité permettant de s'insérer dans la société et d'échanger par un réseau d'interdépendance généralisé et ainsi se crée des interactions sociales Le travail, une nécessité ? Oui car vital (il ne trouve pas dans la nature de quoi satisfaire ses besoins (vêtements ne se tissent pas tout seul, terre ne se cultive pas toute seule homme condamné animaux) Solution : machines (technique) ? Non car hommes pour les concevoir et les réparer Travail ( pour arriver à ses besoins Le travail, obstacle à la liberté ? [...]
[...] PLATON : justice = idéal de la communauté politique, vertu morale de chaque individu (car implique sagesse, courage et tempérance) Rôle de l'éducation FICHE 6 : L'ETAT ARISTOTE : « l'homme est le vivant politique » ( c'est au sein d'une cité qu'il peut réaliser son humanité Peut-on concevoir une société sans Etat ? ARISTOTE : 3 ensembles nécessaires : famille (parenté et filiation), village (société civile) et cité (établit les lois) D'où vient la nécessité d'opposer société et Etat ? [...]
[...] Cité grecque (solidarité mécanique) Etat moderne et société civile (solidarité organique ; puissance publique posant les lois et contrôlant le corps social) Caractéristiques de la notion d'Etat Séparation cadre institutionnel (lois et ceux qui exercent le pouvoir ; ministres qui appliquent la loi) Etat : transcendant (au-dessus de tous les ordres de la société) et permanent En quoi l'Etat est-il nécessaire ? HOBBES : l'homme est guidé par le désir de pouvoir (état de nature : tout le monde veut dominer l'autre) : « la guerre de tous contre tous » ( insérer un pacte où chacun s'engage à ne pas utiliser sa force contre un tiers : l'Etat est le seul à utiliser la violence de façon légitime, paix sociale Toute forme d'Etat est-elle légitime ? [...]
[...] SMITH : l'homme ne peut satisfaire tous ses besoins ( nécessite toute l'organisation sociale (il faudra à l'agriculteur des outils fabriqués par le forgeron) ; et phénomène de main invisible (intérêt personnel ( intérêt collectif ; la satisfaction de mes besoins dépend d'autrui et la satisfaction des siens dépend de moi) Organisation des échanges Echanges ( interdépendance (vie en communauté ( l'homme travaille pour acheter le travail d'autrui) Chaque bien a une double valeur : valeur d'usage (satisfait un besoin) et valeur d'échange (marchandise), la monnaie rend possible l'échange de produits quantitativement et qualitativement Problème selon PLATON : danger si société sur commerce et échanges (profuit et non acquérir biens pour besoins) ( monnaie est une fin en soi et non un moyen en vue d'une fin FICHE 5 : LA JUSTICE ET LE DROIT Justice : institution du bien sur terre. Peut-être un idéal à atteindre ou une réalité politique Droit : ensemble des règles qui régissent un Etat (droit positif) Justice et égalité ARISTOTE : justice distributive (répartition biens et honneurs selon mérite) justice corrective (égalité stricte pareil pour tous) Quelle égalité peut exiger la justice ? [...]
[...] SAINT THOMAS D'ACQUIN : vérité = adéquation entre esprit et chose « la vérité est l'adéquation entre la chose et l'intellect » Problème : je dois comparer mes idées aux choses, mais je n'ai pas affaire aux choses en elles-mêmes, mais seulement à ma représentation des choses (or si monde qu'à mes yeux Faut-il renoncer à parvenir à la vérité ? Mêmes si mes jugements sont faux, on ne peut pas douter de « je pense donc je suis » Pas comparer mes idées aux choses, mais mes idées à une intuition (le cogito = vrai) Mais si je ne suis pas une chose pensante ? [...]
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