Goethe disait « Je préfère commettre une injustice que tolérer un désordre ». Selon lui le respect de l'ordre serait bien plus important que celui de la justice. L'ordre ne peut exister que si des entités respectent un certain nombre de règles ou de lois. Mais existe-t-il des entités qui ne peuvent être soumises à des règles, et qui seraient donc désordonnées ? Ce que l'on appelle désordre, c'est un état qui semble n'obéir à aucune loi, qui peut donc être aléatoire ou incompris. Le désordre au point de vue social est donc caractérisé par l'instabilité. L'injustice quant à elle peut être définie comme le contraire de ce qui est juste, il désigne donc ce qui ne respecte pas l'équité au regard du droit et de la morale.
[...] Faut il préférer l'injustice au désordre ? Goethe disait Je préfère commettre une injustice que tolérer un désordre Selon lui le respect de l'ordre serait bien plus important que celui de la justice. L'ordre ne peut exister que si des entités respectent un certain nombre de règles ou de lois. Mais existe-t-il des entités qui ne peuvent être soumises à des règles, et qui seraient donc désordonnées ? Ce que l'on appelle désordre, c'est un état qui semble n'obéir à aucune loi, qui peut donc être aléatoire ou incompris. [...]
[...] Les lois de la nature sont les plus rigides et donc les plus injustes. L'ordre social peut être renforcé à travers des cas d'injustices. Des sanctions disproportionnés peuvent être délivrés sur certain afin d'en faire des exemples et donc d'accroitre une autorité. Pendant la première guerre mondiale, de nombreux déserteurs français ont été fusillés afin de garantir l'ordre dans l'armée.Cependant, l'injustice lorsqu'elle dépasse un certain seuil peut être néfaste à l'ordre. Trop d'injustices peuvent mener à des révoltes voire à des révolutions. [...]
[...] Parce que le désordre est autan source d'injustice, que l'injustice est source de désordre. Par exemple, la Révolution française prend racine dans les injustices de l'Ancien Régime : La religion catholique avait été affaiblit par la pensée des Lumières. Or la tripartition de la société (Noblesse, Clergé, Tiers Etat) n'était plus légitimé par le droit divin. La justice divine est donc devenu une injustice sociale légitimant la Révolution. La Terreur, était une période d'anarchie où toute justice était inexistante ou appliqué par la lame de la guillotine. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture