La mémoire c'est la faculté psychique d'engranger des infos.
L'oubli est perçu comme cette faculté de ne pas se ressaisir de toute la vérité, laisser des pans de la vérité dans une zone qui ne parvient pas à la conscience, c'est aussi une faculté psychique qui socialement est + condamnable (...)
[...] Plan de la prof /orientation d'idées: La nécessité de la mémoire : vertu néfaste (la mémoire oui mais pas trop) Pas d'oubli mais il en faut quand même (il faut de l'oubli mais pas d'excès et pas de mauvais oubli) Freud : le véritable deuil est de passer par un travail de mémoire pour remettre la personne dans un fond de son cœur et de son esprit, on peut refaire sa vie et cela ne veut pas dire qu'on oublie la personne. Jankélévitch dit qu'il ne faut rien oublier : ne pas oublier la shoah ! [...]
[...] La mémoire c'est la faculté psychique d'engranger des infos. L'oubli est perçu comme cette faculté de ne pas se ressaisir de toute la vérité, laisser des pans de la vérité dans une zone qui ne parvient pas à la conscience, c'est aussi une faculté psychique qui socialement est + condamnable. Au-delà des définitions, il y a déjà un jugement porté par notre société sur ces termes, cela permet de poser al question de la place qu'il faut accorder à l'un et à l'autre pour montrer qu'il faut un dosage des 2 quelque fois même sous conditions pour qu'au fond une société ou un individu soit capable d'affronter le présent et l'avenir. [...]
[...] La question du temps est une question philosophique : en littérature ça donne des genres, en politique ça donne le septennat, quinquennat ; en socio : c'est le rapport à l'histoire Lien de la mémoire et l'oubli : Bruckner dit que cela suffit, il faut reconnaître la colonisation mais il faut s'arrêter là. C'est une maladie la mémoire, film Rain man, c'est un psychotique, la mémoire peut être aussi issu de la psychose, il faut avoir un regard pondéré sur les oublis traumatisants de la mémoire. [...]
[...] Il fallait absolument aborder avant les définitions, l'intérêt du sujet : Autre exemple : Guy Môquet : utilisation tendancieuse d'un évènement historique : quelque chose de suspect, trop de mémoire c'est trop : idée des cadavres planqués dans les armoires des familles l'odeur des cadavres vient à un moment donné altérée l'harmonie de la famille. Il y a une suspicion sur un trop de mémoire. Définition : Sur un plan de mémoire collective, c'est très bien de se souvenir, ce n'est pas bien d'oublier il fallait réviser cette position qui fait que collectivement la mémoire peut envahir tout et que par contre l'oubli est mal jugé. [...]
[...] Les dates obligatoires étaient destinées à lutter contre l'oubli mais en niant le contexte. Les historiens quelques fois ont été les 1ers à avoir des amnésies volontaires de certains faits concernant l'histoire. Devoir de mémoire d'un enfant de la Shoah à un enfant de CM2 : problème de l'excès de mémoire, de mémoire mal comprise. Décision prise par l'Etat sans référence au point de vue scientifique, sans consultation des psychologues et instituteurs : conséquences regrettables sur un enfant dans l'assimilation à un enfant mort. [...]
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