Ce document est une fiche de révision complète sur le chapitre "Le désir" en philosophie. Cette fiche regroupe tous les grands principes, auteurs/philosophes, et schémas indispensables pour comprendre et réviser au mieux ce chapitre. J'espère qu'elle vous aidera dans vos révisions ;)
[...] Tel l'ivrogne décrit par Spinoza qui regrette d'avoir bu alors qu'il le désiré violemment. Le docteur Olievenstein a écrit un ouvrage « Il n'y a pas de drogué heureux » dans lequel il explique que en se droguant se dernier satisfait un besoin qui se manifeste à lui avec violence mais qui le laisse toujours insatisfait. La force de notre désir peut donc nous faire croire que nous savons ce que nous désirons. En soit-ce n'est pas tant l'objet désiré mais plutôt l'objet fantasmé. [...]
[...] La réponse est oui, la publicité par exemple exploite la dimension imitative du désir. Ainsi nous pouvons nous tromper sur ce que l'on croit désirer. Le désir est donc manipulable. Quand on le satisfait, vu que se désir ne vient pas complétement de nous, nous restons quand même frustrés de cette satisfaction. Or il nous faut apprendre à désirer car on ne peut pas parvenir à vivre sans se recentrer sur son désir. Il faut savoir ce que vraiment, dans le fond nous voulons. [...]
[...] Or selon eux la souffrance n'est pas mauvaise. Elle est juste dû à un moment précis pour quelque chose de précis. Pour eux tout est fait pour une raison et nous devons toujours voir le bon dans ce qui est bien fait, et ne pas tout remettre en question car la Nature est bien faite. Tout est bon, mais c'est notre imagination qui rend les choses mauvaises. Par exemple : Michael Jackson était noir et il a rendu ça vie un enfer juste pour ça sa sensibilité était donc bien plus forte que son intelligence. [...]
[...] Conclusion : Beaucoup on leur avis sur la manière dont nous devons régler notre désir : Pour Epiqure, il faudrait réduire nos désirs, au désirs naturels, essentiels, voir les désir animal (manger, dormir, boire) Pour les Stoïciens à l'inverse, il faudrait étendre ses désirs, dire oui à tout, et voir le bon dans tout car la nature est bien faite. Il faudrait atteindre l'idéal de la sagesse. Pour Aristote, lui est entre les deux, il dit qu'il ne faut ni réduire, ni étendre, mais prendre les choses comme elles sont. Régler son désir, c'est régler intelligemment dans ce que nous avons d'incompréhensible, et c'est admettre la part de non-raisonnable en nous. [...]
[...] » Selon lui nous sommes tous des être vivants doués de mouvements de sensibilité, et ce qui fait notre spécificité : notre raison. Ce qui fait que nous sommes plus spécifiquement des Hommes, c'est notre raison plutôt que la sensibilité. Nous sommes des êtres raisonnables à l'intérieur de notre sensibilité. C'est pour cela que nous ne pouvons pas toujours justifier nos désirs, nos goûts ect . car ils ont à la fois une racine dans notre sensibilité et à la fois dans notre raison, or la sensibilité est irrationnelle et la raison insensible. [...]
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