1. Point de départ : enfance et préjugés, les jugements sur les choses sensibles constituent un détournement de la connaissance. Nécessité de douter radicalement pour s'en libérer.
2. Ce qui est douteux, nous le tiendrons pour faux.
3. Distinction entre la contemplation de la vérité et l'usage de la vie où le doute n'a pas sa place : le monde du choix et du vraisemblable.
4. Pourquoi douter du sensible ? 1. Flagrant délit d'erreur 2. Les songes.
[...] Ces diverses sensations correspondent uniquement à des dispositions variées des objets. Problèmes de l'homme-machine et de la causalité d'une substance à l'autre. Conclusion et réponses aux objections possibles Rien n'a été omis dans ce traité : les phénomènes de la nature correspondent à des perceptions de notre sensation Cette philosophie n'est pas nouvelle car bâtie sur les mêmes principes, qui sont reçues de tous. Par ailleurs, concernant la confiance dans les formes matérielles, elle s'explique par la corroboration de plusieurs sens et par leur intelligibilité Objection : particules non perçues. [...]
[...] 2ème preuve Ces perfections incompréhensibles pour des esprits finis sont toutefois les plus connaissables, en ce qu'elles sont simples, ni obscurcies ni limitées Reprise de la 2ème preuve : du fait de la présence de ces idées en moi, je ne peux être par moi seul, ni pas autre chose que Dieu Notre conservation dans le temps n'est pas causée par nous-même, donc l'est par quelque chose qui en possède la force, savoir Dieu. 3ème preuve De son concept, on voit que Dieu est éternel, omniscient, tout- puissant, d'une perfection infinie, cause de tout Seule une imperfection est divisible, donc Dieu est indivisible, donc n'est pas un corps. Il entend (pas comme nous), veut et fait tout. Il ne veut pas le péché car celui-ci n'est pas réel. [...]
[...] De plus, elles se tiennent si bien les unes entre les autres qu'il semblerait incroyable qu'il s'agisse d'une coïncidence, qu'elles soient fausses Certaines sont plus que moralement certaines : Dieu, nullement trompeur, fonde notre certitude absolue concernant les vérités mathématiques, les choses matérielles et les raisonnements élémentaires (et généraux) associés Toutefois, reconnaissant sa faiblesse, Descartes se soumet aux jugements de l'Église et des plus sages. [...]
[...] Hors ce cas, il convient de ne jamais se fier aux sens, mais à sa raison d'homme. Extraits de la quatrième partie : La Terre Les sensations : sens internes et externes Après avoir décrit le monde visible comme une machine (figure et mouvement), il faut expliqué ce que sont les sensations pour ne rien omettre L'âme a son siège dans le cerveau, où elle entend, imagine et sent par le biais de l'action de nerfs s'étendant dans tout le corps. [...]
[...] Les notions simples : choses ou vérités Objets de préjugés, Descartes s'attaque aux notions simples, composantes de notre pensée, afin d'éliminer leur part obscure Choses générales : substance, durée, ordre et nombre. Deux grands genres de choses : substance pensante (perception, volition et leurs modes) ou substance étendue figure, mouvement, situation, divisibilité). L'expérience de l'union : appétits (faim, soif), émotions/passions (gaieté, tristesse, amour), sensations (psychologiques : douleur, plaisir ; sensorielles : couleur, dureté) Il y a aussi des axiomes, vérités éternelles, qui ne sont pas des choses (ex : rien sans rien). [...]
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