Démarche éthique, démarche classique, déontologie, prise en charge de la personne, question éthique
L'essentiel dans cette démarche est de douter, car du doute naît la réflexion.
Il est également nécessaire de travailler en équipe, d'avoir des partenaires. C'est une approche classique clinique, juridique et déontologique humaniste qui est axée sur la personne à la recherche de sens.
Cette démarche va varier d'un individu à l'autre, par exemple, si la famille veut rester pendant un soin, que ce soit pour une prise de sang ou donner le repas, chacun va réagir différemment, certains soignants leur donneront l'autorisation de rester, d'autres non. Cependant pendant un soin, la famille ne devrait pas rester.
[...] Démarche classique Identification du problème éthique Qu'est ce qu'il faut faire ? qu'est ce qu'il ne faut pas faire ? Que décider ? Quand arrivent les dilemmes ? L'identification va être fonction du cas, de la personne. Pour savoir comment agir, il faut d'abord connaître la pathologie. Sur le plan déontologique et juridique Au delà de la prise en charge de la personne dans sa globalité, il va falloir s'intéresser au plan juridique. La personne est elle sous curatelle ? sous tutelle ? Y'a t'il une personne de confiance ? [...]
[...] La démarche éthique L'essentiel dans cette démarche est de douter, car du doute naît la réflexion. Il est également nécessaire de travailler en équipe, d'avoir des partenaires. C'est une approche classique clinique, juridique et déontologique humaniste qui est axée sur la personne à la recherche de sens. Cette démarche va varier d'un individu à l'autre, par exemple, si la famille veut rester pendant un soin, que ce soit pour une prise de sang ou donner le repas, chacun va réagir différemment, certains soignants leur donneront l'autorisation de rester, d'autres non. [...]
[...] Donc notre action doit tendre vers cette réalisation du bien. On y rattache donc le principe d'humanité. - la non-malfaisance : Primium non nocere ce qui signifie d'abord ne pas nuire c'est tout d'abord ne pas faire mal au patient. Implique donc le notion de Bénéfice / Risque. - la justice : On doit soigner de la même façon l'ensemble des patients, sans discrimination en reconnaissant les droits et les mérites des patients. L'équité par rapport à l'accès aux soins. [...]
[...] En France on aurait tendance à les classer ainsi : Bienfaisance, Non- malfaisance, Autonomie et Justice. Appliquer la décision Il faut élaborer un projet de soins adapté à la situation clinique du patient. Réévaluer a postériori Cette réévaluation à postériori des décisions prises permet à l'équipe soignante d'améliorer sa capacité à gérer l'incertitude. Parler de la situation évite des souffrances liées à l'incompréhension, à la culpabilité, au doute. En conclusion, on peut résumer la question éthique comme ceci : que faire pour bien faire ? [...]
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