Analyse littéraire du roman : Le crime de l'Orient Express - Agatha Christie. 7 pages, niveau collège
Agatha Christie, et qui ne connaît pas la duchesse de la mort. Avec cinq cent millions de livres vendus dans le monde, elle est de loin l'auteur de langue anglaise la plus connue et la plus traduite de tous les temps. À vrai dire, la dame du crime ne fût surpassée que par la Bible et Shakespeare, qui selon mon avis, rajoute à son prestige et accroît sa royauté. Faut-il juste rappeler sa pièce théâtrale La souricière qui joue à Londres depuis voilà cinquante ans. Mais quand Agatha Mary Clarissa Miller est née en 1890, jamais elle n'aura imaginé atteindre un aussi haut rang.
[...] L'histoire de ce livre, le crime de l'Orient Express se passe bien sûr dans ce train de marque qui traverse l'Europe d'est en ouest. Au bord de ce train, des personnalités de toutes les classes, de toutes les nationalités et de tous les âges sont réunies. Ce qui très étrange à cette période de l'année. Au bord de ce train aussi, il y un voyageur de marque. Le détective belge Hercule Poirot. Tous ces passagers passeront trois jours ensemble, bloqués par les neiges dans les montagnes baltiques. [...]
[...] Toutes vos déductions sont exactes. Vous ne sauriez imaginer ce que fut la tragédie en ce jour terrible à New York. J'étais folle de désespoir les domestiques étaient frappés de douleur le colonel Arbuthnot, l'ami intime de John Armstrong, se trouvait présent, bouleversé d'horreur et de colère.» (p.216). Cette séquence vient à la fin du récit et a pour but de justifier l'acte des douze passagers. En effet, ce discours a été rapporté par Mrs Hubbard (la mère de Mrs Armstrong), c'est elle qui avait tout organisé et planifié. [...]
[...] Poirot embarquera au bord du seul train qui part se soir là, le remarquable Orient Express. C'est avec l'aide d'un vieil ami qu'il dénicha un compartiment vide, ne se privant pas de suspecter le fait que le train est rempli à craquer à cette période de l'Année. C'est incroyable nuit» (p.18). Soudain, le calme et le silence de la deuxième nuit fussent interrompit par un cri venant du compartiment adjacent à celui de Poirot. Occupé par un certain américain du nom de Ratchett. [...]
[...] En effet, le fameux Orient Express est ici le théâtre d'un meurtre sanguinaire. Néanmoins, ce fait rajoute à sa valeur et à son prestige et semble ne pas nuire à sa réputation. Quand la reine du crime elle-même tombe amoureuse de ce train, une simple lectrice comme moi ne peut que faire de même. À priori, analysons le principal lieu dans ce roman : Le Simplon Orient Express. D'emblée déjà, on s'aperçoit que ce lieu est réel. En effet, le prestigieux train a bel et bien existé et existe d'ailleurs toujours. [...]
[...] La deuxième, et à laquelle il y tient, dit qu'en réalité le crime à été commis par les douze voyageurs du train, dans la nuit, ils se sont succédaient à travers le compartiment de Mr Hubbard, chacun d'entre eux a donné un coup de couteau à Ratchett, et personne ne peut savoir qui avait donné le coup mortel, tous ces détails et ces accessoires n'étaient que une pure inventions de la part des passagers, qui s'étaient juré qu'ils vengeraient leurs petite Daisy Armstrong. Finalement, Mr Bouc (le directeur de la ligne) déclare que cette affaire ne sera pas révélée à la loi, et acquitte les voyageurs. Dans le roman Le crime de l'Orient Express, Agatha Christie a inséré plusieurs séquences à l'intérieure de la structure du récit. [...]
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