Conscience : Intuition plus ou moins claire qu'a l'esprit de lui-même, des objets qui s'offrent à lui, ou de ses propres opérations. Elle permet d'utiliser ou pas sa raison (...)
[...] ainsi, la cse de soi n'est pas immédiate. On a toujours honte dvt qq1 même quand on se croit seul on ne l'est pas car présence de Δ. Ainsi, S veut ns montrer que dans une pure intériorité, on a aucun rapport à soi. On est incapable de se faire une représentation de soi. Quand on est observé, nos gestes, nos paroles deviennent objet dc je vais me juger. Avec la honte il se produit d'abord identification (on devient objet) puis projection (on se voit comme autrui me voit) et enfin introspection (Étude, observation de la conscience par elle-même) On n'a pas besoin que l'autre me juge pr avoir honte, c'est pourquoi c'est irrationnel, un sentiment incontrôlable sans raisonnement. [...]
[...] au début qd 1 enfant se voit dans un miroir il jubile car il visualise hors de lui sa propre unité, ensuite c'est pénible car il fait l'exp de la division du sujet car unité correspond à son image et non à lui. Ainsi on a un moi idéal. Rimbaud : je est un autre : je change au crs du tps. Ainsi ê cst c'est se faire devenir autre chose que ce que l'on est. Ainsi ê cst ê soi même Pr Sartre, identité = propriété des choses (dépourvues de cse). [...]
[...] K : la cse de soi n'est pas, loin s'en faut, une connaissance de soi on ne connaît de soi que ce qui nous en apparaît Ainsi on doit, pr se connaître, se phénoménaliser. Par contre la notion de sujet n'est pas détruite comme celle de la responsabilité car je me construis grâce à l'a priori je donc se connaître se maîtriser La phénoménologie Phénoménologues : JP. Sartre, Husserl, Merleau-Ponty, Hubble, Hegel Pr eux : tte cse est cse de qqch : le qqch = objet, le je doit devenir qqch cad objet ext. Pr pouvoir prendre cse de lui-même. La cse doit s'objectiver hors d'elle-même. [...]
[...] Ainsi l'altérité est un indice de liberté. LACAN : je suis là où je ne pense pas inconscience quand on devient autre. Illusions par rapport à l'identité : identité = souhait de contrôle de soi et des autres ? Plus on est capable d'ê étranger à soi, moins on l'est par rapport aux autres. La prétention de connaître les autres, soi même cache un désir de négation de la liberté de l'autre et de la mienne : si nous voulons ê libre, qu'est ce qui nous en empêche ? [...]
[...] Il suffit de penser pour ê sujet. Si j'arrête de douter j'arrête d'exister. 2e évidence : j'ai une âme Âme : chose pensante distincte de mon corps, substance immatérielle : res cogitans Distinction entre matière (res extensa) et esprit (res cogitans : chose pensante) pr D. L'Homme est une exception où l'association des 2 substances est possible. Csqs et limites Pr ê cst = se connaître Aucune pensée n'est en moi dont je ne puis avoir une actuelle connaissance, si je le veux : tt est de volonté selon D Il n'existe pas de pensée inconsciente (contre exemple de Freud : le rêve, rep de D : le rêve ce n'est pas de la pensée c'est un phénomène physiologique) Autosuffisance de la cse individuelle : immédiateté de la cse de soi 1ère difficulté : on identifie la cse à l'âme : cogito devient res cogitans (chose pensante) : - Cogito : la cse est un acte intellectuel : c'est un acte et donc un être - Res cogitans (cerveau) : chose/avoir On a ainsi une chosification de la cse. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture