Philosophie, bonheur, travail sur soi, Epictète, place psychique, simple représentation, les choses qui dépendent de nous
Dans ce texte, Epictète nous parle du bonheur à travers les choses qui dépendent et ne dépendent pas de nous. Ici, il les met en opposition. Il veut nous montrer la différence pour que l'on puisse comprendre l'écart qu'il y a entre les deux ; l'impuissance sur l'un et le contrôle sur l'autre. Il nous explique cependant ce que l'on peut essayer de faire sur les choses qui ne dépendent pas de nous malgré notre impuissance.
[...] Je peux aussi prendre du temps pour moi. » Il faut donc que la chose qu'on aurait associé à l'attente soit autre que quelque chose de négatif. Exemple 2 : Pour qu'une personne atteinte de boulimie se soigne, il faut qu'elle réussisse à comprendre que la nourriture n'est pas un moyen de combler le vide qu'elle a en elle ni une façon d'échapper au manque qu'elle peut ressentir. Mais que la nourriture est simplement ce qu'elle est, rien de plus. [...]
[...] Et non pas des choses qui n'en dépendent pas. Parfois, il faut justement savoir lâcher l'affaire sur les choses qui ne dépendent pas de nous, ou même y renoncer totalement. Cependant, si l'on sait que l'on n'a aucune emprise sur celles-ci, on pourra se sentir libre à la fois dans nos actes et dans nos paroles. On ne peut pas tout avoir ; être un homme libre et avoir richesse et pouvoir. Si l'on cherche à avoir les deux, on risque bien de n'en avoir aucun et de rencontrer beaucoup d'obstacles dans l'action. [...]
[...] Le bonheur : Fiche 1 : d'Epictète : Les choses qui dépendent de nous Que veut démontrer ce texte ? Dans ce texte, Epictète nous parle du bonheur à travers les choses qui dépendent et ne dépendent pas de nous. Ici, il les met en opposition. Il veut nous montrer la différence pour que l'on puisse comprendre l'écart qu'il y a entre les deux ; l'impuissance sur l'un et le contrôle sur l'autre. Il nous explique cependant ce que l'on peut essayer de faire sur les choses qui ne dépendent pas de nous malgré notre impuissance. [...]
[...] Il faut déconnecter ce que l'on associe de négatif. On peut alors agir sur cette représentation, et donc faire un travail sur soi. On ne peut pas changer les choses qui ne dépendent pas de nous mais on peut changer l'impact qu'elles ont sur nous en changeant la représentation qu'on leur donne. Même si ça ne dépend pas de nous, dépend de nous la place psychique qu'on leur laisse dans notre esprit. Si la représentation pénible fait partie de ce qui ne dépend pas de nous, il faut s'en éloigner et se souvenir que cela ne nous concerne pas, que l'on n'a aucune emprise. [...]
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