Pour la conduite de la vie la connaissance du Souverain Bien aide, en effet il est plus facile d'atteindre qqch quand on sait ce que l'on vise.
La politique légifère sur ce qu'il faut faire et sur ce dont il faut s'abstenir. En tous les cas la recherche du bien de la cité et préférable à la recherche du bien de l'individu.
L'individu étant inclus dans la cité profitera du bien de la cité (..)
[...] Quelle est la nature du bonheur ? déterminons la fonction propre de l'homme. La singularité de l'homme ne se trouve pas dans le simple fait de vivre, ni dans sa capacité à se nourrir et à croître et pas dans la vie sensitive non plus, car les animaux ont tout cela en commun. Il reste la vie pratique de la partie rationnelle de l'âme, partie qui peut être envisagée, d'une part, au sens ou elle est soumise à la raison, et, d'autre part au sens ou elle possède la raison et l'exercice de la pensée. [...]
[...] Ethique à Nicomaque (Aristote) : Chapitre 1 Tout art et toute investigation, et pareillement toute action et tout choix tendent vers quelque bien art= ensemble des procédés servant à produire un certain résultat. Pour la conduite de la vie la connaissance du Souverain Bien aide, en effet il est plus facile d'atteindre qqch quand on sait ce que l'on vise. La politique légifère sur ce qu'il faut faire et sur ce dont il faut s'abstenir. En tous les cas la recherche du bien de la cité et préférable à la recherche du bien de l'individu. [...]
[...] S'acquiert-il avec l'habitude ? Est ce une faveur divine ou un hasard ? Il est meilleur d'être heureux grâce à son action que par l'effet d'une chose imméritée, d'un hasard. Bonheur= activité conforme à la vertu. Animal, enfant ne peuvent être heureux car il ne sont pas capable de participer à une telle activité. Le bonheur requiert à la fois une vertu parfaite et une vie venant à son terme. Car il peut arriver à l'homme le plus prospère de tomber dans les plus grands malheurs à sa vieillesse : il ne sera alors pas qualifié d'heureux (Ex de Priam) Alors aucun homme ne pourrait être appelé heureux tant qu'il vit? [...]
[...] Est-on heureux que une fois mort ? Cela semble absurde d'autant plus qu'on a défini le bonheur comme une activité C'est seulement au moment de la mort qu'on peut, d'une manière assuré, qualifier un homme d'heureux, comme étant désormais hors de portée des maux et des revers de fortune. Selon notre doctrine le véritable homme heureux est censé supporter toutes les vicissitudes du sort avec sérénité et tiré partie des circonstances pour agir avec toujours plus de noblesses. Définissons la vertu pour mieux appréhender le bonheur. [...]
[...] En effet le bien est quelque chose de personnel. Il serait donc plus juste de considérait que c'est la vertu qui est la fin d'une vie politique. Mais la vertu n'est pas suffisante car un malade qui reste alité sa vie entière aura beau être vertueux il ne sera jamais considéré comme étant heureux. Quant aux hommes d'affaires, et donc au bonheur dans la richesse, c'est discutable car la richesse est seulement un moyen en vue d'une autre chose. Que peut être le bien ? [...]
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