Nous allons étudier un aspect de la philosophie politique du philosophe, le citoyen et la cité ; dans un premier temps, nous définirons la notion de « citoyen » dans les différents gouvernements, comme la démocratie, la monarchie et l'aristocratie.
Nous verrons ensuite les vertus du bon citoyen, nous nous demanderons si les vertus sont celles de l'homme de bien (...)
[...] Les vertus du bon citoyen sont-elles celles de l'homme de bien? La politique est-elle sociale? L'éthique est elle politique? Les bien d''un état viennent-ils des biens des hommes? La politique est-elle ééthique, c'est-à-dire, en rapport avec la formation des individus? Un individu formé à la vertu est-il celui qui peut devenir un bon citoyen? L'intérêt commun, c'est à cela que doit se rapporter la vertu du citoyen, il en va de la conservation et du salut de l'état, chacun doit exécuter sa propre fonction. [...]
[...] Dééveloppement le citoyen Le citoyen est celui qui a un droit de suffrage dans les assemblées et qui participe aux affaires publiques, il est admis dans la juridiction et dans les délibérations; nous avons une extension de la notion de citoyen très différente selon que l'on se réfère au gouvernement démocratique, monarchique ou aristocratique. Il y a plusieurs espèces de citoyens mais les vrais citoyens sont ceux qui participent aux honneurs, par exemple dans l'aristocratie. Dans l'oligarchie, un artisan une fois fortuné devient citoyen. Dans la démocratie, il suffit d'être né d'une certaine nationalité pour être citoyen. [...]
[...] Tous ces biens doivent se trouver chez les gens heureux. Il y a cependant une supériorité des biens de l'âme, une supériorité de la pensée, cela trouve sa justification au niveau du bonheur; le bonheur est en effet un bien supérieur car il se suffit à lui-même, le bonheur est une activité de l'âme, une vertu en exercice et en pleine réussite de sa mise en œuvre rationnelle. Il faut donc de la vertu et de la prudence. des mêmes principes dépend le bonheur de l'état; il est impossible qu'un état soit heureux si l'honnêteté est bannie Le courage, la justice et la prudence sont en conséquence indispensables tant au niveau particulier que collectif. [...]
[...] Le méérite de celui qui commande est la prudence. Il a les autres vertus en commun avec ceux qui obéissent. Celui qui commande est celui qui a l'excellence dans les qualités intellectuelles et morales. Dans éthique à nicomaque, Aristote affirme, le bien de l'état dépend des biens de l'homme les vertus de l'homme de bien sont les mêmes que celles du bon citoyen, êêtre un bon citoyen c'est être un homme de bien. Platon disait, le législateur a pour rôle de former les hommes de vertu, c'est à cela que doit s'appliquer un bon léégislateur le but de l'état Il s''agit de vivre et de bien vivre, c'est l'intérêêt commun qui domine. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture