Sciences humaines et arts, La philosophie des sciences au XXeme siècle, Chapitre III, Anouk Barberousse, Max Kistler, Pascal Ludwig, connaissance incertaine
Topos : la sce > mde de la nécessité qui a pr but de mettre au mde les lois qui gouvernent la réalité. Le discours scientifique serait caractérisé par la connaissance par la certitude, comme s'il n'y avait rien face à quoi douter. Deux raisons motivent cette conception de la science. Une vient d'Aristote qui affirmait qu'il n'y avait de science que du général, l'autre raison est que le discours scientifique est svt conçu sur le modèle du discours mathématique (qui, à partir du mmt où les prémisses sont vraies, ne peut donner une ccl° que nécessaire).
[...] Un dernier aspect creuse l'objection : la nature même semble être gouvernée par le hasard et la contingence plutôt que par des lois nécessaires. Ex ds le cas de la désintégration des atomes radioactifs > ds un pool de tels atomes, il n'est pas possible de prévoire lesquels se désintégreront à un tps donné. Le comportement de ces atomes répond à une loi statistique et nn déterministe. la mise en théorie du hasard XVIIe : remise en cause du topos selon lequel la science ne peut pas étudier ce qui relève du hasard. [...]
[...] Il y a plusieurs types d'incomplétudes : soit ce st ns manques connaissances qui ns conduisent à parler d'indéterminisme, soit c'est le monde qui l'est vrmt. - Indéterminisme classique (Van Fraassen) ; ce type d'indéterminisme est une conceptualisation incomplète d'une théorie déterminisme. Limite épistémique. - Théories intrinsèquement indéterministes : phy quantique où le déterminisme n'existe ps. Ecole de Copenhague > indétermination du réel lui-même car il est pénétré par le hasard. la proba est ici plus qu'un moyen ; elle devient un instrument de description. [...]
[...] La probabilité des événements A ou B quand ils sont incompatibles est égale à la somme des possibilités de A et B. - La loi des grands nombres : relie les notions de probabilité et de fréquences relatives. La fréquence relative d'un événement ds une série donnée est le nbre de fois où cet événement se reproduit rapporté au nbre total d'événements de la série. le modèle laplacien de la connaissance scientifique Laplace : 1749-1827. Il défend un déterminisme métaphysique et épistémologique. [...]
[...] Barberousse La philosophie des sciences au XXeme siècle : Chapitre III, la connaissance incertaine. la science : monde de certitude ou de nécessité ? Topos : la sce > mde de la nécessité qui a pr but de mettre au mde les lois qui gouvernent la réalité. Le discours scientifique serait caractérisé par la connaissance par la certitude, comme s'il n'y avait rien face à quoi douter. Deux raisons motivent cette conception de la science. Une vient d'Aristote qui affirmait qu'il n'y avait de science que du général, l'autre raison est que le discours scientifique est svt conçu sur le modèle du discours mathématique (qui, à partir du mmt où les prémisses sont vraies, ne peut donner une ccl° que nécessaire). [...]
[...] Il y a un modèle des phénomènes aléatoires : on peut en faire des objets de sce. Au XIXeme : apparition des statistiques sociales et fait l'objet au XXeme d'un approfondissement mathématique > se retrouve appliqué ds les sciences de la nature. Théorie des erreurs de mesure étudie les propriétés des distributions des résultats de mesures > permet de mieux maîtriser les degrés d'erreurs lorsque l'on considère des échantillons de taille suffisamment grande. Les statistiques sociales = ttmt statistique de données concernant certains groupes d'une pop. [...]
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